Re: POLITIQUE
Publié : 08 avr. 2011
Ça sent le roussi.Rama Yade et Jean-Louis Borloo ont quitté l'UMP !

Ça sent le roussi.Rama Yade et Jean-Louis Borloo ont quitté l'UMP !
Dommage qu'en partant elle n'a pas aspergé les locaux avec son répulsif anti-sdf!!Rama Yade
Pourtant les trucs puants n'ont pas l'air de les déranger !Dommage qu'en partant elle n'a pas aspergé les locaux avec son répulsif anti-sdf!!
Il n'y a pas assez de candidats de droite qui lorgnent sur le perchoir?L'animateur télé devrait annoncer la semaine prochaine qu'il se lance dans la course à l'Elysée.
C'est un marché de dupes.Le PCF qui compte 17 députés (dont 5 apparentés) part d'une base de 80% de candidats issus du PCF quand le PG (3 députés) campe sur une répartition 50% PCF, 30% PG et 20% GU et autres. La question financière est aussi en suspens.
D'où la difficulté ...les commerciaux font ça très bien, ils repèrent le point d'accord et ensuite ils élargissent la brèche avec de dangereux syllogismes et hop, emballé c'est pesé!tristesir a écrit :On ne peut pas être contre l'indexation des salaires sur les prix même si le FN le préconise.
SLOVAR a écrit :En se référant à 2007, on apprend que «le montant total des dépenses des douze candidats de la campagne de 2007 a dépassé les 75 millions d'euros, dont 44 ont été remboursés par l'État en vertu des règles de financement de la vie politique. Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal (...) ont dépensé à eux seuls 44,5 millions et s'étaient vu rembourser la quasi-intégralité de leurs frais (...)» - Le Figaro
Dans le détail, nous dit Le Nouvel Obs en se basant sur les 4 candidats les plus significatifs en 2007 : «Nicolas Sarkozy 21.175.141 euros, Ségolène Royal 20.815.003 euros, François Bayrou 9.745.197 euros et Jean-Marie Le Pen 9.630.932 euros (...)»
Or, en 2007, la crise financière devenue économique avec son cortège de faillites, licenciements et rigueur budgétaire, n'existait pas ! Il aurait été logique, dans le contexte économique actuel, que nos dirigeants s'appliquent un train de rigueur, identique à celui imposé, à ceux qui financent à longueur d'élections les partis et formations politiques !
Cette réflexion prend toute son ampleur lorsqu'on sait que la France (par la voix de Christine Lagarde) s'est engagée à «ramener son déficit public à 5,7% cette année, puis 3% en 2013» au prix de lourds sacrifices pour les Français !
Ainsi, en ce qui concerne la Sécu : «Diminution des effectifs, dossiers en souffrance, fermetures de centres, dégradation du service rendu aux assurés... Rien ne va plus dans les caisses primaires d’assurance maladie !»
Ou la dégradation permanente (dénoncée par le médiateur de la République) des services publics et validée par Georges Tron : «Dans les deux ou trois prochaines années, on peut encore réduire le nombre de fonctionnaires de l'Etat. (...) Je suis pour les suppressions de postes en 2012 et 2013 mais si nécessaire, on ajustera», a-t-il dit au sujet de l'Education Nationale.
En clair : Une politique budgétaire rigoureuse qui n'autorise plus d'écarts. Sauf pour financer à la hausse... les ambitions politiques de quelques-uns !
Même si, argueront les défenseur du «coût de la démocratie», les sommes qui seront dépensées seront «dérisoires» par rapport au budget de la Nation, les Français auraient apprécié que la «pédagogie» du «faire mieux avec moins» ressassée par le gouvernement trouve sa stricte application ... pour la campagne de 2012 !