Une petite citation qui en dit plus long que tous les longs discours :
"Beaucoup de gens appellent travailler le simple fait d' exercer un pouvoir, c' est-à-dire de faire travailler les autres !" Honoré de Balzac.
De nos jours il vaut mieux etre rmiste que travailler
"Il serait plus bénéfique d'etre au rmi que de travailler..."
ëtre au rmi : situation
travailler : verbe d'action
Comme le dit St dumortier, ces deux situations ("rmiste, travailleur") peuvent se cumuler.
Il y a au moins deux façons de voir la précarité : la pauvreté du revenu (qu'il soit d'allocation ou de rémunération) et la grande variabilité de ce revenu qui caractérise aussi la précarité.
La tendance de l'être humain, en général, enfin une tentative de rationaliser sa vie, serait, en plus de répondre à ses besoins, de minimiser l'incertitude : je répondrai donc que si l'on trouve léger avantage à rester au rmi, c'est aussi que la personne a trouvé un rythme de vie régulier, alors que passer d'un état à un autre (cdd, mission d'intérim, cdi, licenciement, are) reste difficile à gérer.
Si les politiques étaient francs, ils diraient à la population, qu'effectivement, il n'y a pas assez de créations d'emplois pour absorber "la masse" de chômeurs (inscrits ou non), et ce, au moins jusqu'au passage de relais éventuel entre générations, si l'on ne détruit pas trop d'entreprises privées et mixtes, de service public et les associations entre-temps.
Il y a des emplois dits non rentables, car l'on n'a pas trouvé les financeurs, le montage qui tiendrait debout à long terme : service à la personne, écologie, médiations sociales, etc. Pourtant, il s'agit de travail d'avenir, car nécessaires (fait partie des choix de société). La réponse de l'Etat de les traduire en cdd de contrats aidés, ou même de chèque-emploi journaliers ou mensuels, ne répond à aucun des deux points sur la précarité (lutter contre) que j'ai mentionnés.
ëtre au rmi : situation
travailler : verbe d'action
Comme le dit St dumortier, ces deux situations ("rmiste, travailleur") peuvent se cumuler.
Il y a au moins deux façons de voir la précarité : la pauvreté du revenu (qu'il soit d'allocation ou de rémunération) et la grande variabilité de ce revenu qui caractérise aussi la précarité.
La tendance de l'être humain, en général, enfin une tentative de rationaliser sa vie, serait, en plus de répondre à ses besoins, de minimiser l'incertitude : je répondrai donc que si l'on trouve léger avantage à rester au rmi, c'est aussi que la personne a trouvé un rythme de vie régulier, alors que passer d'un état à un autre (cdd, mission d'intérim, cdi, licenciement, are) reste difficile à gérer.
Si les politiques étaient francs, ils diraient à la population, qu'effectivement, il n'y a pas assez de créations d'emplois pour absorber "la masse" de chômeurs (inscrits ou non), et ce, au moins jusqu'au passage de relais éventuel entre générations, si l'on ne détruit pas trop d'entreprises privées et mixtes, de service public et les associations entre-temps.
Il y a des emplois dits non rentables, car l'on n'a pas trouvé les financeurs, le montage qui tiendrait debout à long terme : service à la personne, écologie, médiations sociales, etc. Pourtant, il s'agit de travail d'avenir, car nécessaires (fait partie des choix de société). La réponse de l'Etat de les traduire en cdd de contrats aidés, ou même de chèque-emploi journaliers ou mensuels, ne répond à aucun des deux points sur la précarité (lutter contre) que j'ai mentionnés.
C'est bien connu le monde agricole n'aime pas les chomeurs d'ailleurs à part leur fric on se demande ce qui les préocupe (pour en avoir cotoyé souvent, j'ai eu l'occasion de me faire un opinion sur leurs capacités de générosité, en gros triple zéro), les paysans n'aiments pas les ouvriers, ni les rmistes, et eux mémes sont si pauvres. Heureusement que la pac est la..............je cite (Le Canard Enchainé de la semaine derniére), cas de pauvreté extréme :
Un riziculteur du sud est se palpe 866 290 euros pour 1733 hectares.
Un producteur de mais d'aquitaine 811 755 euros pour 1500 hectares.
Converti en mois de RMI, çà nous fait du 2130 et du 2164, pas trop mal. Savez vous que le Prince de Monaco touche 300 000 Euros par an pour 700 hectares dans l'Aisne (800 mois de RMI), quand au Prince Charles (dit "Charlot les Belles Feuilles") c'est 435 000 et sa moman 1.1 million.
Pas eu le courage de diviser pas 375 euros (ma rémunération de parasite de l'Etat).
Ecoeurant.
Un riziculteur du sud est se palpe 866 290 euros pour 1733 hectares.
Un producteur de mais d'aquitaine 811 755 euros pour 1500 hectares.
Converti en mois de RMI, çà nous fait du 2130 et du 2164, pas trop mal. Savez vous que le Prince de Monaco touche 300 000 Euros par an pour 700 hectares dans l'Aisne (800 mois de RMI), quand au Prince Charles (dit "Charlot les Belles Feuilles") c'est 435 000 et sa moman 1.1 million.
Pas eu le courage de diviser pas 375 euros (ma rémunération de parasite de l'Etat).
Ecoeurant.