L'un des sans papiers expliquait comment leur patron, décrit comme raciste, avait préféré fermer leur entreprise plutôt que de leur signer un CDI.C'est d'abord une jeune étudiante et surtout deux Africains sans papiers et en grève qui ont témoigné de leurs combats, avec fraîcheur, enthousiasme, décontraction et humour.
Il y eut aussi l'intervention d'un syndicaliste de Renault qui a parlé des luttes en cours en Normandie: Sandouville etc. Il y eut aussi une prof des écoles qui a parlé des luttes en cours dans l'éducation nationale. Il y eut aussi un ouvrier des NNMP (Nouvelles Messageries de la Presse Parisienne) en lutte pour conserver des emplois décents. Et Olivier Besancenot a terminé le meeting en parlant de la crise. La salle de la mutualité était quasi comble.
Des centaines de personnes, jeunes et moins jeunes réunies.