Reprise de la construction de l'EPR en France
Le groupe nucléaire Areva a reconnu jeudi que des erreurs et des dysfonctionnements internes avaient conduit à une fuite d'uranium à l'usine Socatri située sur le site du Tricastin il y a dix jours et a décidé de remplacer le directeur de l'usine.
Une autre affaire de rejet accidentel sur un autre site nucléaire vient de commencer. (pas encore de source sur internet pour le moment)
Une autre affaire de rejet accidentel sur un autre site nucléaire vient de commencer. (pas encore de source sur internet pour le moment)
Le temps que les journalistes écrivent leur article à partir de la dépêche d'agence il faut une bonne heure 
Après l'incident au Tricastin, une nouvelle fuite d'uranium sur un site Areva s'est produite jeudi après-midi, cette fois à l'usine de fabrication de combustibles nucléaires FBFC à Romans-sur-Isère (Drôme), après la rupture d'une canalisation enterrée de rejets d'effluents liquides uranifères, a annoncé vendredi l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), sans préciser le degré de gravité.
Les enquêteurs de l'ASN, prévenus jeudi à 17h, ont rapporté que "la rupture de cette canalisation enterrée daterait, selon l'exploitant, de plusieurs années", alors que "des mesures correctives destinées à protéger la zone contre les éventuelles intempéries" ont été prises.
Un porte-parole d'Areva, Charles Hufnagel, a précisé qu'il s'agissait d'uranium "légèrement enrichi", tout en assurant que la fuite n'avait eu lieu que sur le site. Il n'y a "absolument aucun impact sur l'environnement", a-t-il dit à l'AP en indiquant qu'Areva proposait de classer cet incident au niveau 1 sur l'échelle internationale de gravité INES qui va jusqu'à 7.(...)
On croit être en plein cauchemar, c'est celui qui est l'origine de la fuite qui a son mot à dire sur le niveau auquel cet incident doit être classé.

Après l'incident au Tricastin, une nouvelle fuite d'uranium sur un site Areva s'est produite jeudi après-midi, cette fois à l'usine de fabrication de combustibles nucléaires FBFC à Romans-sur-Isère (Drôme), après la rupture d'une canalisation enterrée de rejets d'effluents liquides uranifères, a annoncé vendredi l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), sans préciser le degré de gravité.
Les enquêteurs de l'ASN, prévenus jeudi à 17h, ont rapporté que "la rupture de cette canalisation enterrée daterait, selon l'exploitant, de plusieurs années", alors que "des mesures correctives destinées à protéger la zone contre les éventuelles intempéries" ont été prises.
Un porte-parole d'Areva, Charles Hufnagel, a précisé qu'il s'agissait d'uranium "légèrement enrichi", tout en assurant que la fuite n'avait eu lieu que sur le site. Il n'y a "absolument aucun impact sur l'environnement", a-t-il dit à l'AP en indiquant qu'Areva proposait de classer cet incident au niveau 1 sur l'échelle internationale de gravité INES qui va jusqu'à 7.(...)
On croit être en plein cauchemar, c'est celui qui est l'origine de la fuite qui a son mot à dire sur le niveau auquel cet incident doit être classé.