retraite qui "disparaissent"
wow intéressant et tout à fait prévisible!
je ne pensais pas que nous y serions déjà si vite, quels bandes de dilettants et de minables!!
et nous on est encore pire que des vaches à lait, ils nous saignent et nous affament, nous expulsent de nos logements pour ça!!!
nous ne cessons de payer pour leurs incompétences et on va se laisser faire encore longtemps comme cela???
je ne pensais pas que nous y serions déjà si vite, quels bandes de dilettants et de minables!!
et nous on est encore pire que des vaches à lait, ils nous saignent et nous affament, nous expulsent de nos logements pour ça!!!
nous ne cessons de payer pour leurs incompétences et on va se laisser faire encore longtemps comme cela???
Le Canard Enchaîné du 9 avril 2008 a révélé en page 3 que le Fonds de Réserve des Retraites (FRR) créé en 1999 par le Gouvernement Jospin, et géré par la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), venait de perdre 3.1 milliards d’euros suite à un placement boursier fort contestable et risqué.
Une note, dont un extrait est publié dans l’hebdomadaire, en date du 27 mars 2008, est pessimiste pour l’avenir et explique que "les risques portés par le FRR sont encore très concentrés sur les marchés actions, le rendant très vulnérable à un retournement" . En d’autres termes, les placements réalisés avec l’argent de ce Fonds ne sont pas sécurisés, et les pertes pourraient s’alourdir si la Bourse continuait à chuter et la crise à s’amplifier.
Contrairement à certaines interprétations journalistiques ou rumeurs,cette information n’a pas été réellement démentie par le FRR, qui s’est contenté de préciser que globalement, la performance annuelle du placement est bonne (6.3 % par an depuis 2003 selon le communiqué du FRR), et que le FRR n’a pas investi dans des "produits de titrisation" (c’est à dire, n’a pas investis sur des produits financiers directement liés aux subprimes).
Nous, salariés, chômeurs, retraités, nous rappelons au gestionnaire de ce fonds, ainsi qu’à l’Etat français que son devoir est avant tout d’assurer la pérennité et la viabilité de cette institution, de protéger ses contribuables, les salariés qui travaillent et cotisent en France, et non d’enrichir les banques ou les actionnaires privilégiés, ni les caïds des marchés boursiers.