humm ça pue la dictature tout ça .... Il n'y aura pas de camps de concentration, non non non. Pas de prisonnier poliques non non non. Des population au banc de la société pour "incompatibilité d'humeur avec la France" oui oui oui, au smic dans le meilleurs des cas, puisque fiché à mort avec possibilité de consultation des bases par nos entreprise (ca va creer des listes noires d'embauche ça). Une population sans autre sortie que le suicide ou si elle peut l'exil.
Sarkosy, meme loin de l'odeur de sainteté a reussi à enclancher un mécanisme qui préfigure le monde décrit par Alain Damasio "La zone du dehors". Punaise ça décrit ce qui va nous tomber sur le coin du nez avec et apres Sarko.
La baisse de popularité de Sarko liée des soucis personnels
Bonjour,
Pour ceux qui ne connaissent pas Damasio
Extrait de Zone du dehors de Damasio
Tout à fait exact ce que vous apportez Maguy et Toit de chome...Il s'attaque aux principes fondamentaux de notre république et au droit ( le préambule de 1946, la déclaration des droit de l'homme et du citoyen), le controle et l'injonction deviennent la régle. En face de cela, il n'y a aucun contre pouvoir, ou peu. Comment faire pour empêcher cela, lorsque nous constatons l'absence de mobilisation de masse?
Lui, il a les mains libres (il a tous les pouvoirs) pour fustiger l'Etat de droit.
Dans cette société d'images, sommes-nous devenus définitivement des spetacteurs,captés et saisis par notre écran, impossible d'agir autrement ?! un peu comme dans la légende de Méduse, qui transformait en statut de sel, ceux qui croisaient son regard.
C'est une vraie question que je me pose
Pour ceux qui ne connaissent pas Damasio
Extrait de Zone du dehors de Damasio
Tout à fait exact ce que vous apportez Maguy et Toit de chome...Il s'attaque aux principes fondamentaux de notre république et au droit ( le préambule de 1946, la déclaration des droit de l'homme et du citoyen), le controle et l'injonction deviennent la régle. En face de cela, il n'y a aucun contre pouvoir, ou peu. Comment faire pour empêcher cela, lorsque nous constatons l'absence de mobilisation de masse?
Lui, il a les mains libres (il a tous les pouvoirs) pour fustiger l'Etat de droit.
Dans cette société d'images, sommes-nous devenus définitivement des spetacteurs,captés et saisis par notre écran, impossible d'agir autrement ?! un peu comme dans la légende de Méduse, qui transformait en statut de sel, ceux qui croisaient son regard.
C'est une vraie question que je me pose