Bien vu la nouvelle tactique des ANPE d'Alsace
Je suis allé au CEPI ce matin.
Foundation de la deuxième chance!!!
( C'est quoi la première chance au fait)
Bref arrivé 11 heures, sorti 11h15.
Eh, oui. De nos jours on ne vous aide que quand il ne vous reste plus un sous.
Si vous avez la chance d'avoir un toit, une voiture c'est déjà trop. Ne comptez pas sur eux.
En somme c'est vrai, faire des chômeurs des SDF est la solution finale.
Foundation de la deuxième chance!!!
( C'est quoi la première chance au fait)
Bref arrivé 11 heures, sorti 11h15.
Eh, oui. De nos jours on ne vous aide que quand il ne vous reste plus un sous.
Si vous avez la chance d'avoir un toit, une voiture c'est déjà trop. Ne comptez pas sur eux.
En somme c'est vrai, faire des chômeurs des SDF est la solution finale.
Même dans les rues, les SDF sont chassés
Vu ce matin sur Orange

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La police fait évacuer des mal-logés qui campaient dans le centre de Paris
voir tous les articlesD es policiers et gendarmes mobiles sont intervenus vendredi avant 05H00 pour faire évacuer des mal-logés qui campaient dans une centaine de tentes rue de la Banque à Paris (IIe) au pied du "ministère de la crise du logement", ont constaté les journalistes de l'AFP.
"L'intervention s'est déroulée sans incident", a indiqué la préfecture de police de Paris (PP), qui a souligné qu'aucune personne n'avait été interpellée.
De son côté, le porte-parole du DAL (Droit au logement), Jean-Baptiste Eyraud, a dénoncé "le choix opéré par le gouvernement d'employer la force, la violence, la brutalité, plutôt que de choisir une autre solution concrète de relogement".
L'intervention a débuté avant 05H00 et s'est achevée vers 06H00 dans le calme, ont constaté les journalistes de l'AFP.
Au total, 170 personnes étaient dans ce campement qui comprenaient entre 90 et 100 tentes, selon la Préfecture de police. Elle a précisé que 32 personnes avaient été conduites jusqu'à un centre d'accueil boulevard Ney (XVIIIe).
D'autres mal-logés se sont réfugiés dans le "ministère de la crise du logement", bâtiment où sont installés depuis plusieurs mois les locaux du DAL et plusieurs familles africaines.
Redoutant sans doute d'être interpellée, une jeune mère de famille originaire de Gambie, Bintou, a lancé: "Je ne veux pas aller au commissariat!". Une partie des mal-logés a préféré quitter les lieux à pied, emmenant tout ou partie de leurs affaires.
Des militants du DAL ont lancé des appels à la "solidarité" dans ce quartier de bureaux, désert à cette heure matinale. Postés sur les balcons du "ministère de la crise du logement", ils scandaient: "Un toit, c'est la loi" ou "Solidarité avec les mal-logés".
Les premières tentes avaient été montées sur la chaussée rue de la Banque mercredi après-midi, après une intervention policière ayant fait tourner court plus tôt dans la matinée une opération à l'initiative du DAL.
Interrogés après l'évacuation vendredi, des délégués de familles mal-logées ont fait état de "violences" commises, certains étant "amenés par la force" jusque dans des cars pour être conduits dans un centre d'accueil.
"Les policiers étaient beaucoup plus nombreux que nous", a expliqué Ousmane Fofana, l'un des délégués. "Beaucoup d'enfants pleuraient, c'était la panique. Les enfants sont traumatisés", a-t-il insisté.
Le porte-parole du DAL, Jean-Baptiste Eyraud, s'est étonné de l'heure de l'intervention: "4H45, à l'heure où jamais la police n'est intervenue auparavant!".
"Le mouvement va continuer", a-t-il ajouté, évoquant dans la matinée "une assemblée générale" au "ministère de la crise du logement".
Ce bâtiment d'environ 1.600 m2, jouxtant le palais Brongniart, ancienne Bourse de Paris, est occupé depuis décembre par des associations comme le comité des sans-logis, Droit au logement, Macaq (artistes), Jeudi noir, et des familles africaines. Il était inoccupé depuis mars 2004.
Il a été rebaptisé "ministère de la crise du logement" par ses occupants en janvier 2007 et racheté en mai par la Ville de Paris et l'OPAC, pour y réaliser 21 logements sociaux.
En allant au CEPI, ce cher Monsieur m'a traité d'assisté.
Ce qui me fait rire jaune c'est que cette personne qui me traite de parasite n'est ni plus ni moins qu'un pion acheté par les mercenaires capitalistes.
En effet ajusteur de profession et ancien Syndicaliste CFDT ce Monsieur a tourné sa veste et s'amuse à jouer un double jeu.
http://www.lesechos.fr/reseaux-pouvoir/ ... dkelai.htm
Ce qui me fait rire jaune c'est que cette personne qui me traite de parasite n'est ni plus ni moins qu'un pion acheté par les mercenaires capitalistes.
En effet ajusteur de profession et ancien Syndicaliste CFDT ce Monsieur a tourné sa veste et s'amuse à jouer un double jeu.
http://www.lesechos.fr/reseaux-pouvoir/ ... dkelai.htm
Tu aurais du lui repondre que " Les assistes le faisaient vivre puisqu'il etait en poste, grace à eux"
C'est le grand mot à la mode ,ASSISTES.mon propio traitait ses locataires d'assistes. Un jour, je lui ai repondu que sans l'apl , il ne louerait meme pas ses taudis, et encore moins à des cadres! Pour lui montrer de quoi les assistes etaient capables, je l'ai coinçée sur la reglementation de l'habitat et la mise aux normes .Vu le tauxd'amiante dans ses boutiques, il est devenu muet comme une carpe.
C'est le grand mot à la mode ,ASSISTES.mon propio traitait ses locataires d'assistes. Un jour, je lui ai repondu que sans l'apl , il ne louerait meme pas ses taudis, et encore moins à des cadres! Pour lui montrer de quoi les assistes etaient capables, je l'ai coinçée sur la reglementation de l'habitat et la mise aux normes .Vu le tauxd'amiante dans ses boutiques, il est devenu muet comme une carpe.
Bien vu la nouvelle tactique des ANPE d'Alsace
Tu pourrais resservir à ce cher con-seiller la dialectique hégelienne du maître et de l'esclave, ça devrait le calmer pour un moment.
En fait, en suivant le fil, je constate qu'on te met sur une voie de garage sans le dire et même en allongeant les délais entre le moment où tu prends la voie et le moment où tu arrives au garage !
En d'autres temps et pour des personnes normales, on aurait appelé ce genre de méthode du sadisme organisé, voire... (là j'arrête sinon gare à la censure bien-pensante).
En fait, en suivant le fil, je constate qu'on te met sur une voie de garage sans le dire et même en allongeant les délais entre le moment où tu prends la voie et le moment où tu arrives au garage !
En d'autres temps et pour des personnes normales, on aurait appelé ce genre de méthode du sadisme organisé, voire... (là j'arrête sinon gare à la censure bien-pensante).
Voilà c'est ma dernière visite chez le psychothérapeute du travail embauché par l'ANPE.
C'est le moment pour lui de rendre sa copie (à l'ANPE) et celui-ci me tend le double. Il lit ses remarques et je sens mon poils se hérisser.
Monsieur le Conseiller tire le parapluie, que dis-je le parasol.
Bien sûr, il doit être payé au rendement, à la remise sur le marché d'un assisté de la société. Pour cela, il est prêt à tout, (coup bas, faux semblant, subjectivité déplacée, histoire à dormir debout, état de santé, mensonges et boniments).
Il marque que Monsieur x, n'a pas fait ceci, n'a pas fait cela, comme si faire ceci et cela changeait grand chose à la problèmatique.
En fait c'est encore une fois, une mascarade, un fillon juteux trouvé par des sociétés en recherche d'un nouveau marché.
C'est la pire prestation que je n'ai jamais faites. Mais c'est bien la première fois que j'assiste à un tel lavage de cerveau, de recherche de dépersonnalisation, d'abstraction totale de la réalité.
J'ai 50 ans, et je ne suis pas du genre à me laisser conter n'importe quoi.
J'imagine aisément une personne plus jeune, plus fragile qui se laisserait convaincre par les boniments de ces hommes transformés en courroie de transmission d'une idéologie capitaliste débridé.
Ces personnes devraient avoir honte d'envoyer des sans emploi sous les ponts, parce que si certains effectivement souhaitent crééer leur entreprise, je trouve le procédé qui consiste à forcer ceux qui ne le souhaitent pas vers la création d'entreprise alors qu'ils n'en ont nul envie, est une vraie saloperie, une vraie lâcheté.
J'attends mon prochain RDV à l'ANPE pour voir ce que mon référent aura le courage de me dire.
Comme mon stage ne sera pas financé à 100%, de toute façon, il l'ont dans l'os.
Alors pour ne pas me faire pièger, je cherche activement dans l'informatique, un point c'est tout.
J'ai fait preuve dans ce suivi de recherche d'emploi, de flexibilité, de prise de risque, mais à priori ni l'un ni l'autre ne paie.
C'est le moment pour lui de rendre sa copie (à l'ANPE) et celui-ci me tend le double. Il lit ses remarques et je sens mon poils se hérisser.
Monsieur le Conseiller tire le parapluie, que dis-je le parasol.
Bien sûr, il doit être payé au rendement, à la remise sur le marché d'un assisté de la société. Pour cela, il est prêt à tout, (coup bas, faux semblant, subjectivité déplacée, histoire à dormir debout, état de santé, mensonges et boniments).
Il marque que Monsieur x, n'a pas fait ceci, n'a pas fait cela, comme si faire ceci et cela changeait grand chose à la problèmatique.
En fait c'est encore une fois, une mascarade, un fillon juteux trouvé par des sociétés en recherche d'un nouveau marché.
C'est la pire prestation que je n'ai jamais faites. Mais c'est bien la première fois que j'assiste à un tel lavage de cerveau, de recherche de dépersonnalisation, d'abstraction totale de la réalité.
J'ai 50 ans, et je ne suis pas du genre à me laisser conter n'importe quoi.
J'imagine aisément une personne plus jeune, plus fragile qui se laisserait convaincre par les boniments de ces hommes transformés en courroie de transmission d'une idéologie capitaliste débridé.
Ces personnes devraient avoir honte d'envoyer des sans emploi sous les ponts, parce que si certains effectivement souhaitent crééer leur entreprise, je trouve le procédé qui consiste à forcer ceux qui ne le souhaitent pas vers la création d'entreprise alors qu'ils n'en ont nul envie, est une vraie saloperie, une vraie lâcheté.
J'attends mon prochain RDV à l'ANPE pour voir ce que mon référent aura le courage de me dire.
Comme mon stage ne sera pas financé à 100%, de toute façon, il l'ont dans l'os.
Alors pour ne pas me faire pièger, je cherche activement dans l'informatique, un point c'est tout.
J'ai fait preuve dans ce suivi de recherche d'emploi, de flexibilité, de prise de risque, mais à priori ni l'un ni l'autre ne paie.