Salut, Triste sir et à vous tous, je suis d'accord avec toi,car par expérience aussi, à l'époque où j'entamais le cursus doctoral...et bien j'ai vu qu'effectivement que les compétences de la matière grise du doctorant n'était pas la prioriité mais qu'il s'y jouait d'autres enjeux de pouvoir et de copinage que tu évoques ici et que Mono je crois à évoqué sur un autre fil...
Je défend tout de même l'université pour qu'elle reste encore un moyen d'accés au savoir à tous et je n'apprécie pas trop le discours ambiant ( le projet de réforme qui va êre soumis je crois demain à discussion) sur la rentabilité des universités et par conséquent sa privatisation à court terme ( fac de riches et fac de pauvres)
"Vous etes trop diplomée"
-
allohla
Bonjour à tous docteurs-chômeurs!
Je décide de rompre ma relative solitude, c'est mon premier forum... dommage que se soit sur ce thème.
Je me retrouve tout à fait dans vos histoires. J'essaie de faire court :
Docteur en Sciences Humaines depuis 2005, suite à une thèse financée (heureusement cela m'a permis d'avoir des droits assedic) et passionnante, cela fait 2 ans que je cherche un boulot.
Côté fac, vous devez bien connaître les dures lois de l'accession à un poste de maître de conférence... je n'y suis pas encore malgré un dossier reconnu comme plutôt bon.
Mais je n'attends pas qu'après la fac (d'accord pour le monde clos sur lui-même...). Je suis impliquée dans d'autres secteurs (communication, culture) et je pense avoir joué toutes les cartes possibles pour décrocher un boulot. Même ma conseillère ANPE ne pensait pas qu'on puisse faire tout ça : évidemment réponses aux offres sur un territoire large + candidatures spontanées + cabinets de recrutements + rencontrer beaucoup de personnes dirigeantes pour me présenter + contacts avec des élus + proposer des projets + le meilleur! assister à des réunions publiques pour distribuer mon CV.
Malgré des entretiens lors desquels on me reconnaît beaucoup de qualités (ah oui j'ai aussi un peu d'expérience car j'ai toujours fait beaucoup de stages pendant mes études) et bien toujours rien.
Je bricole : une mission à droite de 3 mois, une collaboration à gauche d'une semaine... mais toujours rien qui me permettrait de savoir où je serais dans 6 mois.
Bilan des courses : arrivant en fin de droits, j'ai pris un CAE en tant qu'AVS dans une école primaire, ouah le pied! Cela me rapporte 600 euros par moi et c'est tout ce que j'ai.
Mon problème aujourd'hui c'est que je ne vois ce que je peux faire de plus comme démarche. Tous les conseillers à qui j'explique mon cas sont désemparés. Je suis très découragée, et je pense surtout que je ne pourrais pas tenir ce rythme encore longtemps. C'est ça le plus fou, c'est quand 2 ans de chômage je ne me suis jamais ennuillée. Entre courrier, déplacement, téléphone, penser des projets, monter des dossiers, préparer des entretiens c'est un boulot de dingue!
Bref, désolée, je ne vous remonterais pas le moral. Je partage vos observations sur la considération des Docteurs (d'ailleurs je n'hésite plus à enlever de mon CV ce diplôme). Je ne suis pas que Docteur j'ai fait beaucoup de choses dans mes secteurs, je suis bien identifiée dans ma région... mais visiblement ça ne suffit pas.
QUE FAIRE DE PLUS POUR AVOIR UN BOULOT DANS CE PAYS ??!!
A ceci vous ajoutez que mon mec est aussi au chômage (nous avons un enfant), que nous ne nous en sortons financièrement et voilà! Le tableau des trentenaires (mes parents m'avaient laissé présager un meilleure avenir...).
A bientôt, merci à ceux qui ont eu le courage de tout lire...
Je me retrouve tout à fait dans vos histoires. J'essaie de faire court :
Docteur en Sciences Humaines depuis 2005, suite à une thèse financée (heureusement cela m'a permis d'avoir des droits assedic) et passionnante, cela fait 2 ans que je cherche un boulot.
Côté fac, vous devez bien connaître les dures lois de l'accession à un poste de maître de conférence... je n'y suis pas encore malgré un dossier reconnu comme plutôt bon.
Mais je n'attends pas qu'après la fac (d'accord pour le monde clos sur lui-même...). Je suis impliquée dans d'autres secteurs (communication, culture) et je pense avoir joué toutes les cartes possibles pour décrocher un boulot. Même ma conseillère ANPE ne pensait pas qu'on puisse faire tout ça : évidemment réponses aux offres sur un territoire large + candidatures spontanées + cabinets de recrutements + rencontrer beaucoup de personnes dirigeantes pour me présenter + contacts avec des élus + proposer des projets + le meilleur! assister à des réunions publiques pour distribuer mon CV.
Malgré des entretiens lors desquels on me reconnaît beaucoup de qualités (ah oui j'ai aussi un peu d'expérience car j'ai toujours fait beaucoup de stages pendant mes études) et bien toujours rien.
Je bricole : une mission à droite de 3 mois, une collaboration à gauche d'une semaine... mais toujours rien qui me permettrait de savoir où je serais dans 6 mois.
Bilan des courses : arrivant en fin de droits, j'ai pris un CAE en tant qu'AVS dans une école primaire, ouah le pied! Cela me rapporte 600 euros par moi et c'est tout ce que j'ai.
Mon problème aujourd'hui c'est que je ne vois ce que je peux faire de plus comme démarche. Tous les conseillers à qui j'explique mon cas sont désemparés. Je suis très découragée, et je pense surtout que je ne pourrais pas tenir ce rythme encore longtemps. C'est ça le plus fou, c'est quand 2 ans de chômage je ne me suis jamais ennuillée. Entre courrier, déplacement, téléphone, penser des projets, monter des dossiers, préparer des entretiens c'est un boulot de dingue!
Bref, désolée, je ne vous remonterais pas le moral. Je partage vos observations sur la considération des Docteurs (d'ailleurs je n'hésite plus à enlever de mon CV ce diplôme). Je ne suis pas que Docteur j'ai fait beaucoup de choses dans mes secteurs, je suis bien identifiée dans ma région... mais visiblement ça ne suffit pas.
QUE FAIRE DE PLUS POUR AVOIR UN BOULOT DANS CE PAYS ??!!
A ceci vous ajoutez que mon mec est aussi au chômage (nous avons un enfant), que nous ne nous en sortons financièrement et voilà! Le tableau des trentenaires (mes parents m'avaient laissé présager un meilleure avenir...).
A bientôt, merci à ceux qui ont eu le courage de tout lire...
-
diety
Bonjour,
Vous avez bien fait de venir, et je trouve votre récit intéressant et significatif. Il est important que tous ces préjugés "quand on veut on peut" et d'autres culpabilisations de chercheurs d'emploi soient contrecarrées. Entre le discours politique du gouvernement et la réalité il y a un gouffre, et ce sont les témoignages comme le vôtre qu'il faudrait entendre et lire dans les médias. Donc au moins il est exprimé et diffusé ici - 100.000 visites par mois.
Ce qui m'a fait sourire est votre remarque "Tous les conseillers à qui j'explique mon cas sont désemparés". Excusez-moi, ce n'est vraiment pas votre situation qui me fait sourire, mais l'embarras des conseillers. Eh oui, c'est embarrassant que l'on fasse tout pour trouver du travail, qu'on soit diplômé, qu'on mette le paquet - mais qu'on ne trouve pas. Ça ne va pas ensemble avec un petit préjugé "resté dans un coin" que si on est jeune, diplômé et ne trouve pas de travail pendant deux ans, il doit y avoir une "faute" quelque part chez le demandeur d'emploi : recherche insuffisante, manque de motivation ou que sais-j'encore.
J'espère que cette réalité s'ebruite dans les couloirs de l'ANPE, et dans d'autres couloirs.
En tout cas, bienvenu ici !
Vous avez bien fait de venir, et je trouve votre récit intéressant et significatif. Il est important que tous ces préjugés "quand on veut on peut" et d'autres culpabilisations de chercheurs d'emploi soient contrecarrées. Entre le discours politique du gouvernement et la réalité il y a un gouffre, et ce sont les témoignages comme le vôtre qu'il faudrait entendre et lire dans les médias. Donc au moins il est exprimé et diffusé ici - 100.000 visites par mois.
Ce qui m'a fait sourire est votre remarque "Tous les conseillers à qui j'explique mon cas sont désemparés". Excusez-moi, ce n'est vraiment pas votre situation qui me fait sourire, mais l'embarras des conseillers. Eh oui, c'est embarrassant que l'on fasse tout pour trouver du travail, qu'on soit diplômé, qu'on mette le paquet - mais qu'on ne trouve pas. Ça ne va pas ensemble avec un petit préjugé "resté dans un coin" que si on est jeune, diplômé et ne trouve pas de travail pendant deux ans, il doit y avoir une "faute" quelque part chez le demandeur d'emploi : recherche insuffisante, manque de motivation ou que sais-j'encore.
J'espère que cette réalité s'ebruite dans les couloirs de l'ANPE, et dans d'autres couloirs.
En tout cas, bienvenu ici !
-
St-Dumortier
Bonjour,
Oui un beau texte qui aurait bien sa place dans la rubrique "portrait de chômeurs".
Citation:
Ce qui m'a fait sourire est votre remarque "Tous les conseillers à qui j'explique mon cas sont désemparés".
pardonnez moi, cela me fait aussi sourire mais pas pour la même raison:
perso cela rappelle mes illusions de jeune chômeur. Quand je ne comprenais pas encore les raisons de leur air navré !
Oui un beau texte qui aurait bien sa place dans la rubrique "portrait de chômeurs".
Citation:
Ce qui m'a fait sourire est votre remarque "Tous les conseillers à qui j'explique mon cas sont désemparés".
pardonnez moi, cela me fait aussi sourire mais pas pour la même raison:
perso cela rappelle mes illusions de jeune chômeur. Quand je ne comprenais pas encore les raisons de leur air navré !
-
Tetal
Tu as bien fait d'en parler, ca aide de pouvoir partager avec des personnes qui ont les mêmes problèmes!
J'ai bien peur qu'avec ton doctorat tu ne trouves pas grand chose. Moi même j'ai jamais pu travailler en France avec ma formation!
Faut peut être penser à se réorienter professionnellement ? Parfois vaut mieux se couper un bras que de perdre des années à éspérer un emploi qui ne viendra pas.
J'ai bien peur qu'avec ton doctorat tu ne trouves pas grand chose. Moi même j'ai jamais pu travailler en France avec ma formation!
Faut peut être penser à se réorienter professionnellement ? Parfois vaut mieux se couper un bras que de perdre des années à éspérer un emploi qui ne viendra pas.
-
Monolecte
Ouf... j'ai bien fait d'avoir arrêté après le DEA.
Pour un doctorat en sciences sociales, je te conseille l'exil...
Nul n'est prophète en son pays et ce serait dommage que tu gaches toutes ces connaissances à prendre un boulot qui pourrait faire bouffer un non qualifié.
Ailleurs, ta formation sera reconnue!
Pour un doctorat en sciences sociales, je te conseille l'exil...
Nul n'est prophète en son pays et ce serait dommage que tu gaches toutes ces connaissances à prendre un boulot qui pourrait faire bouffer un non qualifié.
Ailleurs, ta formation sera reconnue!
-
Tetal
-
allohla
Bonjour Tétal et les autres.
Je m'adresse plus spécifiquement à toi car ton histoire me fait "halluciner"!
Je pense surtout à ton moral, après t'être enrichi comme ça à l'étranger et de surcroit dans plusieurs pays, ta situation actuelle doit être lourdement difficile à gérer. Je me permets de te poser une question (pour comprendre) : pourquoi es-tu rentrés en France (tu devais sûrement penser trouver un taf)? Envisage-tu de repartir (j'ai bien lu que tu n'avais pas l'argent pour le billet, mais par emprunt si t'es sûre d'avoir du taf là-bas)?
C'est marrant de parler d'expatriation c'est justement ce qu'on m'a dit à l'ANPE aujourd'hui (je vous rassure j'avais un papier à régler sinon je n'y vais jamais). En juin dernier j'ai passé une audition à Bruxelles, classé 3ème ça ne suffit pas. Tout ça pour dire que l'étranger oui, pourquoi pas, mais faut-il avoir une opportunité.
Concernant les secteurs, on me dit souvent que je ne suis pas dans les "bons" mais je vois bien que même chez les scientifiques "durs" ça coince.
Par contre je n'ai aucun procblème pour faire valoir mes 3 ans de thèse comme expérience professionnelle mais c'est vrai que j'ai dû pas mal bosser pour trouver la bonne stratégie (c'est sûrement pas à la fac qu'on me l'a appris, c'est d'ailleurs moi qui explique ça à certains profs aujourd'hui...)
Se réorienter, pourquoi pas... mais je ne vois pas... le métier d'instit c'est pas pour moi et j'en suis d'autant plus convaincue depuis que je bosse dans cette école. Par contre je pense passer un concours administratif... et oui je craque et pourtant je m'y suis longtemps refusée, avec mon CV je pensais sincèrement avoir le droit de bosser sans me replonger dans des bouquins.
Une dernière chose, une très bonne nouvelle aujourd'hui! Mon mec à décrocher du boulot, dans son secteur, CDI, pas loin de la maison et payé plus que le smic! Putain ça fait du bien!
Je m'adresse plus spécifiquement à toi car ton histoire me fait "halluciner"!
Je pense surtout à ton moral, après t'être enrichi comme ça à l'étranger et de surcroit dans plusieurs pays, ta situation actuelle doit être lourdement difficile à gérer. Je me permets de te poser une question (pour comprendre) : pourquoi es-tu rentrés en France (tu devais sûrement penser trouver un taf)? Envisage-tu de repartir (j'ai bien lu que tu n'avais pas l'argent pour le billet, mais par emprunt si t'es sûre d'avoir du taf là-bas)?
C'est marrant de parler d'expatriation c'est justement ce qu'on m'a dit à l'ANPE aujourd'hui (je vous rassure j'avais un papier à régler sinon je n'y vais jamais). En juin dernier j'ai passé une audition à Bruxelles, classé 3ème ça ne suffit pas. Tout ça pour dire que l'étranger oui, pourquoi pas, mais faut-il avoir une opportunité.
Concernant les secteurs, on me dit souvent que je ne suis pas dans les "bons" mais je vois bien que même chez les scientifiques "durs" ça coince.
Par contre je n'ai aucun procblème pour faire valoir mes 3 ans de thèse comme expérience professionnelle mais c'est vrai que j'ai dû pas mal bosser pour trouver la bonne stratégie (c'est sûrement pas à la fac qu'on me l'a appris, c'est d'ailleurs moi qui explique ça à certains profs aujourd'hui...)
Se réorienter, pourquoi pas... mais je ne vois pas... le métier d'instit c'est pas pour moi et j'en suis d'autant plus convaincue depuis que je bosse dans cette école. Par contre je pense passer un concours administratif... et oui je craque et pourtant je m'y suis longtemps refusée, avec mon CV je pensais sincèrement avoir le droit de bosser sans me replonger dans des bouquins.
Une dernière chose, une très bonne nouvelle aujourd'hui! Mon mec à décrocher du boulot, dans son secteur, CDI, pas loin de la maison et payé plus que le smic! Putain ça fait du bien!
-
Tetal
Oui je pensais trouver un emploi plus ou moins rapidement, même si j'avais prévu une période de galère. Mais 3 ans de RMI ca fait long! Surtout les périodes de concours dans la recherche publique qui se suivent et qui se ressemblent. Cette semaine encore j'ai eu les réponses des dossiers ingénieur de recherche: toujours la même lettre du CNRS, INSERM, IRD... votre dossier à obtenu 14/20 au classement ce qui est insuffisant pour obtenir l'emploi unique ou des dizaines de personnes postulent.allohla a écrit :Je pense surtout à ton moral, après t'être enrichi comme ça à l'étranger et de surcroit dans plusieurs pays, ta situation actuelle doit être lourdement difficile à gérer. Je me permets de te poser une question (pour comprendre) : pourquoi es-tu rentrés en France (tu devais sûrement penser trouver un taf)? Envisage-tu de repartir (j'ai bien lu que tu n'avais pas l'argent pour le billet, mais par emprunt si t'es sûre d'avoir du taf là-bas)?
Oui c'est la réponse classique de l'ANPE et de tout le monde: partez à l'étranger! Notre système d'enseignement a dépensé des fortunes entre mes études au lycée, 8 ans à l'université (j'ai eu un salaire pendant ma thèse) et au final, la seule option c'est de partir. Quel gachis d'argent!allohla a écrit :C'est marrant de parler d'expatriation c'est justement ce qu'on m'a dit à l'ANPE aujourd'hui (je vous rassure j'avais un papier à régler sinon je n'y vais jamais). En juin dernier j'ai passé une audition à Bruxelles, classé 3ème ça ne suffit pas. Tout ça pour dire que l'étranger oui, pourquoi pas, mais faut-il avoir une opportunité.
Oui c'est le plus dur de se remettre en question, d'abandonner des années de formation, reprendre tout à zéro!allohla a écrit :Se réorienter, pourquoi pas... mais je ne vois pas...
Courrage! On finira par trouver notre voie.
-
geneve
Bonjour à tous
est ce que certains ont pensé à l' expatriation ??
j' avais regardé cela vaguement il y a qques temps
au canada par ex je sais qu' un temps on cherchait d'une part des profils diplomés dans différents secteurs ( je ne pourrai énumérer lesquels précisemment mais je sais que celui tr bouché des sciences humaines était en demande ) ; d'autre part on cherchait également des chercheurs
je n' ai pas eu le temps de lire tt le fil je passe
je me suis renseignée récemment pour le luxembourg dans le domaine Culturel , les pays bas : il y a du travail évidemment cela ne concerne pas ton domaine Survivine mais encore une fois c un secteur tr bouché en règle générale Partout dans le monde et cela p être un indice pour les disciplines pointues de la recherche par ex
par contre le luxembourg est tr tr à cheval sur la nationalité
Donc là c 'est une autre pair de manche
sachant que certaines parties des Pays bas st celles en europe où l' on a vu poindre des partis néo nazis déjà bien avant les mesures de Nicolas sarkosy (
je maintiens le radicalisme anti gouvernement actuel
mais bon pour qui veux s'y essayer je crois que ce sont des pays tr agréables à vivre
la Suisse également parmi les pays francophones
pr ma part et bien bp ont lu mon profil sur ce forum , mais si je n' ai pas de doctorat j' ai un bac + 7 et je me retrouve de A jusqu' à Z dans le parcours de chacun
j' ai essuyé des refus à toutes les entournures
j' a_i aussi des compétences ds d' autres domaines ce qui par nature
j' ai envie de dire depuis lgtps me marginalisait ou me rendait folle vis à vis de bp de consensus dans ma vie professionnelle ou sociale
la route est longue ds ce cas là quand les études longues la connaissance du monde dit rapidement vous donne une philosophie à tous les sens du terme tr éloignée de la moyenne et que vous ne voulez plus apr être passé par les petits boulots vous contenter du médiocre
Aussi garde courage Survivine coute que coute
les formations l' accés aux formations est tr difficile mais cela est possible
par ex
qqu'un à parlé de l' enseignement oui p être
je prospecte le monde de l' édition actuellement comme qqu'un en a parlé ici , il est tr tr fermé aussi
mais il me semble que là il y a vraiment des choses à faire
est ce que certains ont pensé à l' expatriation ??
j' avais regardé cela vaguement il y a qques temps
au canada par ex je sais qu' un temps on cherchait d'une part des profils diplomés dans différents secteurs ( je ne pourrai énumérer lesquels précisemment mais je sais que celui tr bouché des sciences humaines était en demande ) ; d'autre part on cherchait également des chercheurs
je n' ai pas eu le temps de lire tt le fil je passe
je me suis renseignée récemment pour le luxembourg dans le domaine Culturel , les pays bas : il y a du travail évidemment cela ne concerne pas ton domaine Survivine mais encore une fois c un secteur tr bouché en règle générale Partout dans le monde et cela p être un indice pour les disciplines pointues de la recherche par ex
par contre le luxembourg est tr tr à cheval sur la nationalité
Donc là c 'est une autre pair de manche
sachant que certaines parties des Pays bas st celles en europe où l' on a vu poindre des partis néo nazis déjà bien avant les mesures de Nicolas sarkosy (
je maintiens le radicalisme anti gouvernement actuel mais bon pour qui veux s'y essayer je crois que ce sont des pays tr agréables à vivre
la Suisse également parmi les pays francophones
pr ma part et bien bp ont lu mon profil sur ce forum , mais si je n' ai pas de doctorat j' ai un bac + 7 et je me retrouve de A jusqu' à Z dans le parcours de chacun
j' ai essuyé des refus à toutes les entournures
j' a_i aussi des compétences ds d' autres domaines ce qui par nature
j' ai envie de dire depuis lgtps me marginalisait ou me rendait folle vis à vis de bp de consensus dans ma vie professionnelle ou sociale
la route est longue ds ce cas là quand les études longues la connaissance du monde dit rapidement vous donne une philosophie à tous les sens du terme tr éloignée de la moyenne et que vous ne voulez plus apr être passé par les petits boulots vous contenter du médiocre
Aussi garde courage Survivine coute que coute
les formations l' accés aux formations est tr difficile mais cela est possible
par ex
qqu'un à parlé de l' enseignement oui p être
je prospecte le monde de l' édition actuellement comme qqu'un en a parlé ici , il est tr tr fermé aussi
mais il me semble que là il y a vraiment des choses à faire
-
maguy
L'expatriation n'est pas LA solution, surtout en Europe. Les Suisses n'acceptent pratiquement plus d'étrangers et ne pas oublier qu'une grosse partie est germanophone.
J'étais allée au Luxembourg il y a une quinzaine d'années et il y avait environ 30% d'étrangers, la plupart européen.
Le Canada, faut voir, mais c'est un pays anglo-saxon avec des règles en matière sociale très dures. Il faut parler anglais, avoir un point de chute et rester en bonne santé
Beaucoup n'ont jamais quitté leurs petites villes, sauf en vacances et encore !
Qu'ils commencent par rembourser les cours de langues, les billets pour aller se présenter à Bruxelles ou autre.
C'est très très dur de s'expatrier, sauf à avoir de la famille ou des amis sur place, surtout pour travailler, plus compliqué que de faire des études.
Pourquoi on rentre en France après quelques années ?
Quelle étrange question
J'étais allée au Luxembourg il y a une quinzaine d'années et il y avait environ 30% d'étrangers, la plupart européen.
Le Canada, faut voir, mais c'est un pays anglo-saxon avec des règles en matière sociale très dures. Il faut parler anglais, avoir un point de chute et rester en bonne santé
S'il y a une chose facile, c'est de côser, bande d'abrutisallohla a écrit :
C'est marrant de parler d'expatriation c'est justement ce qu'on m'a dit à l'ANPE aujourd'hui
Beaucoup n'ont jamais quitté leurs petites villes, sauf en vacances et encore !
Qu'ils commencent par rembourser les cours de langues, les billets pour aller se présenter à Bruxelles ou autre.
C'est très très dur de s'expatrier, sauf à avoir de la famille ou des amis sur place, surtout pour travailler, plus compliqué que de faire des études.
Pourquoi on rentre en France après quelques années ?
Quelle étrange question
-
geneve
ah non c 'est sur je n' ai lu que les 2 1ères pages de ce fil je viens de voir vos dernières paroles sur ce thème
cela dit je ne sais pas ce qu' en pensent survivine ou d'autres encore
je ne crois pas non plus que cela ne soit pas une solution à envisager
travailler des langues étrangères repérer un pâys qui embauche dans notre secteur
si certains st en mauvaise santé
d'autres ne le sont pas
etc etc
moi je ne suis là que pr remonter le moral proposer réfléchir
pas envie de me prendre la tête avec des grincheux à tout va
cela dit je ne sais pas ce qu' en pensent survivine ou d'autres encore
je ne crois pas non plus que cela ne soit pas une solution à envisager
travailler des langues étrangères repérer un pâys qui embauche dans notre secteur
si certains st en mauvaise santé
d'autres ne le sont pas
etc etc
moi je ne suis là que pr remonter le moral proposer réfléchir
pas envie de me prendre la tête avec des grincheux à tout va
-
geneve
-
maguy
Geneve, heuuuuuuuuu je crois que tu as un problème, je ne te piste pas, j'ai franchement mieux à faire, crois-le ou pas
Pour juste ton information, j'ai passé presque onze ans (professionnels) en Allemagne et un peu d'études aussi.
Donc, rassure-toi je sais de quoi je parle
Par contre, tu as dû roupiller en français, c'est galère de te lire, pense à ceux qui passent derrière.
Et à propos je mettais en garde pour l'expatriation, c'est très difficile, je te causais même pô !!!!
Pour juste ton information, j'ai passé presque onze ans (professionnels) en Allemagne et un peu d'études aussi.
Donc, rassure-toi je sais de quoi je parle
J'ai passé l'âge du "je sais mieux que toi, la lère !"j' ai 250 plus de connaissances que toi sur le 16e s l' ancien régime les notions de servitude la coloniqation et l' amérique latine
Par contre, tu as dû roupiller en français, c'est galère de te lire, pense à ceux qui passent derrière.
Et à propos je mettais en garde pour l'expatriation, c'est très difficile, je te causais même pô !!!!
-
geneve