Ca oui c'est dommage, et ça tombe pile quand il ne faut pas...
Trop tard pour jouer les girouettes auprès d'un employeur qui avait déjà accepté de me laisser un délai d'une semaine avant d'embaucher.
Mon craquage nerveux du fait de cette panne de voiture ne ferait pas de moi quelqu'un de zen et d'opérationnel pour débuter dans un nouveau job, avec le stress que cela suppose déjà en temps normal. Si je le pouvais, je me mettrais carrément en maladie... pour durée indéterminée.
Croyez-moi, j'ai réfléchi avant de me résoudre à le prévenir dès vendredi soir, je ne voulais pas lui faire ce coup-là en dernière minute au lundi matin...
Et puis, repousser de combien de temps? Je ne sais même pas si les réparations ne seront pas trop importantes, ou trop chères (déjà que...), et combien de temps je vais me retrouver à pieds.
Maintenant, à moi d'assumer...
Aucune autre solution de rechange, voilà ce que c'est que d'être venue m'enterrer dans un trou pareil

. Le taf était à 16km, sans aucun transport en commun (comme à peu près partout dans ce département de misère). La seule personne qu'il me reste, ma mère, habite à 50km... et la vie n'est pas glorieuse non plus de son côté.
Pas de voiture de remplacement (c'est une option que je n'ai pas sur mon assurance... mais à l'avenir je vais me renseigner du coût).
Je savais très bien que je dépendrais de ma voiture en habitant dans un coin si isolé. J'ai déjà eu plein de pannes, je fais ce que je peux pour l'entretenir quand même... comme vous tous

! Mais c'est autre chose de le savoir et d'y être confrontée, et de se retrouver au pied du mur au plus mauvais moment...
Bref, c'est terminé pour cette possibilité de boulot. Quant au reste... je ne veux pas extrapoler puisque je vois déjà tout en noir.