Sans ajouter les saisonniers habituels..., l'interressant aussi serait de connaitre le nombre de CDI contractés... ils nous prennent vraiment pour des jambons !Baisse du chomage de 1,4 pour cent , regardons les chiffres dans le détail , nous constatons/
Les radiations sont toujours en augmentation 5000 personnes
le gros de la baisse est liée à des fins de droits ASSEDIC touchant 45.000 chomeurs au moi de MAI, les personnes qui ne sont plus indemnisées pour la plus part ne pointent plus mensuellement.
Les absences au control sont elles aussi en augmentation de prés de 39.000 personnes et qu'elles représentent la moitié des sorties A.N.P.E contre moins d'un quart pour les reprises d'emploi
ps les stastistiques sont disponibles sur http://www.travail.gouv.fr/
Pour AC! BORDEAUX C.U.B LOHRER.M
BAISSE DU CHOMAGE EN TROMPE L'OEIL
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wapasha
BAISSE DU CHOMAGE EN TROMPE L'OEIL
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CECILEDP
pas de quoi se réjouir...
facile d'avoir de tels chiffres alors que tout n'est que statistique...sans compter tous ceux qui ne sont pas inscrits parce remplir le dossier assedic/anpe est trop laborieux pour eux, ceux qui sont radiés parce que l'anpe les a fortement incité à le faire, ceux qui sont en formation, ceux qui recherchent 1 cdi à temps parlier...
comme diraient les politiques, les chiffrs, on leur fait dire ce qu'on veut...
"on" se réjouit du nombre de déclarations uniques d'embauche sans recenser la qualité du travail effectué...on oublie que beaucoup de contrats intérimaires se signent d'une semaine à l'autre...
MANIPULATION DES MEDIAS !!!
facile d'avoir de tels chiffres alors que tout n'est que statistique...sans compter tous ceux qui ne sont pas inscrits parce remplir le dossier assedic/anpe est trop laborieux pour eux, ceux qui sont radiés parce que l'anpe les a fortement incité à le faire, ceux qui sont en formation, ceux qui recherchent 1 cdi à temps parlier...
comme diraient les politiques, les chiffrs, on leur fait dire ce qu'on veut...
"on" se réjouit du nombre de déclarations uniques d'embauche sans recenser la qualité du travail effectué...on oublie que beaucoup de contrats intérimaires se signent d'une semaine à l'autre...
MANIPULATION DES MEDIAS !!!
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moko
Avec l'article qui suit,
qu'on y croit ou pas on se marre franchement.!!!!!!!
"latribune.fr
Net recul du chômage en juin
Selon le ministère du Travail, le nombre de demandeurs d'emplois a reculé de 35.200 personnes au mois de juin. Le taux de chômage français recule de ce fait de 0,1 point à 10,1% de la population active. Les entreprises semblent décider à embaucher.
Une véritable embellie. Pour le troisième mois consécutif, le nombre de demandeurs d'emplois a reculé en France selon des données du ministère du Travail. Seule différence, après avoir timidement recul en avril (-0,1%) et en mai (-0,1%), le nombre de chômeurs s'est cette fois-ci nettement replié en juin.
En effet, le nombre de demandeurs d'emploi de catégorie 1 -c'est-à-dire immédiatement disponibles à la recherche d'un emploi à durée indéterminée et à temps plein-, qui sert de baromètre officiel, a reculé de 1,4% par rapport à mai. Soit 35.200 demandeurs d'emplois de moins.
Conséquence, le taux de chômage au sens du Bureau international du Travail (BIT), cède 0,1 point à 10,1% de la population active. Seul bémol noté par le ministère, le nombre de demandeurs d'emplois a progressé de 0,1% par rapport à juin 2004, le chômage touchant 2.448.900 personnes.
Autre bonne nouvelle, l'embellie de juin a profité à la quasi-totalité des catégories de chômeurs, notamment aux jeunes a baissé (-2,6%) et aux plus de 50 ans (-0,8%). Le chômage de longue durée (demandeurs d'emploi inscrits depuis au moins un an à l'ANPE) a, lui aussi, baissé de 0,2%. Seul le chômage de très longue durée (demandeurs d'emploi inscrits depuis au moins trois ans) affiche une hausse sensible de 1,3%.
"Depuis la mi-2003, l'incertitude sur la conjoncture et l'accent mis sur les gains de productivité avaient conduit certaines entreprises à fonctionner en sous-effectif, notamment dans le secteur des services. Or il semblerait que depuis le mois de juin, devant le frémissement de l'activité, les comportements des chefs d'entreprises aient commencé à se débloquer. Beaucoup de sociétés, même chez les PME, ont terminé de se restructurer, et repartent à l'offensive", explique Nicolas Bouzou, chef économiste au Xerfi.
"Ce recul surprise du chômage est une bonne nouvelle car elle est de nature à soutenir la consommation", estime Stéphane Déo, économiste chez UBS. Consommation qui reste toujours l'unique moteur de la croissance française. "
qu'on y croit ou pas on se marre franchement.!!!!!!!
"latribune.fr
Net recul du chômage en juin
Selon le ministère du Travail, le nombre de demandeurs d'emplois a reculé de 35.200 personnes au mois de juin. Le taux de chômage français recule de ce fait de 0,1 point à 10,1% de la population active. Les entreprises semblent décider à embaucher.
Une véritable embellie. Pour le troisième mois consécutif, le nombre de demandeurs d'emplois a reculé en France selon des données du ministère du Travail. Seule différence, après avoir timidement recul en avril (-0,1%) et en mai (-0,1%), le nombre de chômeurs s'est cette fois-ci nettement replié en juin.
En effet, le nombre de demandeurs d'emploi de catégorie 1 -c'est-à-dire immédiatement disponibles à la recherche d'un emploi à durée indéterminée et à temps plein-, qui sert de baromètre officiel, a reculé de 1,4% par rapport à mai. Soit 35.200 demandeurs d'emplois de moins.
Conséquence, le taux de chômage au sens du Bureau international du Travail (BIT), cède 0,1 point à 10,1% de la population active. Seul bémol noté par le ministère, le nombre de demandeurs d'emplois a progressé de 0,1% par rapport à juin 2004, le chômage touchant 2.448.900 personnes.
Autre bonne nouvelle, l'embellie de juin a profité à la quasi-totalité des catégories de chômeurs, notamment aux jeunes a baissé (-2,6%) et aux plus de 50 ans (-0,8%). Le chômage de longue durée (demandeurs d'emploi inscrits depuis au moins un an à l'ANPE) a, lui aussi, baissé de 0,2%. Seul le chômage de très longue durée (demandeurs d'emploi inscrits depuis au moins trois ans) affiche une hausse sensible de 1,3%.
"Depuis la mi-2003, l'incertitude sur la conjoncture et l'accent mis sur les gains de productivité avaient conduit certaines entreprises à fonctionner en sous-effectif, notamment dans le secteur des services. Or il semblerait que depuis le mois de juin, devant le frémissement de l'activité, les comportements des chefs d'entreprises aient commencé à se débloquer. Beaucoup de sociétés, même chez les PME, ont terminé de se restructurer, et repartent à l'offensive", explique Nicolas Bouzou, chef économiste au Xerfi.
"Ce recul surprise du chômage est une bonne nouvelle car elle est de nature à soutenir la consommation", estime Stéphane Déo, économiste chez UBS. Consommation qui reste toujours l'unique moteur de la croissance française. "