Sacré Patdu49, le roi de la calculette !

Le raisonnement est simple : après la réduction de l'ISF, que le gouvernement a promis d'engager sans aggraver le déficit public, cet impôt ne rapportera plus que 2,2 milliards au lieu des 4 milliards actuels. La suppression du bouclier fiscal rapportera de son côté 720 millions d'euros. Il reste donc 1,1 milliard d'euro à trouver. Un milliard en trop d'un côté, un milliard en moins de l'autre… l'affaire pourrait paraître entendue.
(...) Comment sera utilisé ce milliard d'excédent, qui était prévu pour aller vers les ménages les plus modestes ? Personne, à l'UMP, n'est capable de répondre et la question, posée brutalement par Hirsch, garde son intérêt.
(...) Selon un avocat spécialiste des dépenses publiques, «la règle générale est la suivante : quand on a un surplus dans le budget de l'Etat, il rejoint la masse des recettes et son utilisation sera décidée par le Parlement».
Non, j'ai des obligations envers autrui et les autres ont des obligations envers moi.La logique d'associer des droits à des devoirs est saine...
Le think tank ferait bien de thinker avec plus de profondeur, et de sortir un peu....ces devoirs doivent porter sur l'obligation de rechercher activement un emploi décent et rémunérateur, l'obligation de suivre une formation qualifiante. Un chômeur en France passe 30 minutes par jour à rechercher un emploi. Dans les pays nordiques, c'est 6 heures par jour.
Moi aussi : depuis leur dernier rapport, je peux plus les encadrer.Maguy a écrit :Bizarre, quand j'entends terra nova, j'ai du mal... suis-je parano ?
??ET même Godet reconnait que les + 50 ans coûtent trop cher pour être embauchés!
??serabeth a écrit :ET même Godet reconnait que les + 50 ans coûtent trop cher pour être embauchés!
Alors, là nous sommes d'accord. Quand quelqu'un de bien intentionné (genre retraité) me parle dignité en travaillant, je me marre "j'ai un grand tort, voyez-vous je veux être payée en plus".Moi je ne vois pas où est la dignité en travaillant pour rien, mais bon faudrait leur proposer de travailler sans être payer pour voir