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car je pense que tu fais semblant de ne pas comprendre ce que je veux dire et pire que tu extrapoles mes propos de manière caricaturale !
Tu concoures pour le prix 2010 de la mauvaise foi c'est bien cela?
Technique de trotskiste pur et dur. C'était déjà la même en 1921 à Kronstadt.
Bis repetita !
Sans l'effet de groupe (au sens psy) je pense qu'il n'y a aucune mobilisation, aucune prise de risque individuelle.
Sans cet effet de groupe, c'est la peur qui triomphe et qui fait que les gens ne font rien et baissent la tête.
Pour créer cette effet, il faut un collectif de gens qui ont en commun la rage, la colère et l'indignation
car je pense que tu fais semblant de ne pas comprendre ce que je veux dire et pire que tu extrapoles mes propos de manière caricaturale !
Tu concoures pour le prix 2010 de la mauvaise foi c'est bien cela?
Si je devais le faire un jour, je prendrais bien soin d'éviter les concurrents de ton acabit ! Dans ce domaine, la mauvaise foi, il est clair que tu peux me donner des leçons
Mais les écrits sont là, chacun pourra se rendre compte que tout ce que j'ai bien pu dire sur ce sujet est à l'exact opposé de l'interprétation caricaturale que tu en as fait, histoire de me faire passer pour un simplet. Et je persiste et signe, dans toutes les luttes vérolées par les trotskistes, on retrouve la même façon de faire quand surviens une divergence de vue !
On vous formatent, au parti ?
Isolation sensorielle et lavage de cerveau, on est sectaire ou on ne l'est pas !
Et je persiste et signe, dans toutes les luttes vérolées par les trotskistes, on retrouve la même façon de faire quand surviens une divergence de vue !
Tu as oublié d'ajouter que j'étais payé par le MEDEF/UMP/CGPME
Commis en douane : mon tout premier job avant d'entrer en apprentissage. Un commis en douane, pour situer, c'est moins que la poussière de l'entrepôt. J'avais seize ans.
Aéroport d'Orly, en novembre, 5 h 30 au matin. Zone sous douane, badge, plusieurs contrôles avant d'accéder au boulot.
Entrepôts de béton et d'acier, gris, carrés, alignés. De la laideur à perte de vue. Des flics partout. Des visages gris, harassés, infiniment tristes.
Une sorte d'horreur m'a immédiatement saisi. Ainsi, ce serait donc cela, la vie ? Cela, tous les jours, avec juste quelques soupapes, week-ends, congés payés…
J'aurais alors été bien en peine de théoriser ce rejet viscéral, immédiat, instinctif. Mais ce que je n'ai toujours pas compris, et ne comprendrai sans doute jamais, c'est la placidité avec laquelle tout le monde semblait considérer les faits comme un ordre naturel des choses. Et le rejet immédiat et brutal de quiconque osait le discuter, par les victimes elles-mêmes.
Depuis qu'il existe, l'homme a toujours recherché un abri, de la chaleur, de la nourriture et de l'eau ; il a également cherché à comprendre son monde, pour des motivations variées : la culture. Ce sont là besoins basiques, qui s'appliquent à tous les êtres humains, quelles que soient couleurs, coutumes ou opinions. Libérer l'homme – l'homme pauvre – de la nécessité, du besoin par le partage des ressources, c'est la priorité absolue du mouvement que je qualifierai de "progressiste" pour ne fâcher personne. Ce n'est qu'à partir de là qu'on pourra penser un monde meilleur car, en effet, ce n'est pas lorsqu'on est harassé par une existence de bête de somme, qui annihile toute velléité de remise en cause de fond, qu'on va éteindre la télé. J'en témoigne : dans mon autre vie de travailleur, maintes fois je me suis écroulé devant une connerie à la télé, toute énergie vampirisée par une journée de travail, plus les transports.
La nécessité, les besoins basiques, c'est le levier du chantage des possédants, et rien ne sera possible tant qu'ils détiendront ce levier. L'idée d'un revenu universel de vie fait son chemin. Elle vaut ce qu'elle vaut, mais au moins enfonce-t-elle un coin dans l'idéologie du travail et, pour cela, mérite d'être discutée. C'est alors que le travailleur ne sera plus obligatoirement astreint à "gagner" sa vie que tout, peut-être, pourra commencer.
tristesir a écrit :
Tu as oublié d'ajouter que j'étais payé par le MEDEF/UMP/CGPME
Moi je n'ai parlé que des potes à Léon
Maintenant, pour le reste, si tu le dis toi-même je ne peux que te faire confiance car je ne met que très rarement en doute la parole des gens