Propositions d'emploi non souhaité et harcèlement moral.

Problèmes pratiques, casse-têtes administratifs : Peut-être qu'un(e) participant(e) de ce forum pourrait vous répondre ?

Modérateurs : superuser, Yves

chris

Propositions d'emploi non souhaité et harcèlement moral.

Message par chris »

salut valeriane
bof , teleconseillere dans un centre d appel , tu risques pas grand chose , le turn over est gigantesque vu la dureté du job .
Certains s y plaisent mais tres peu , c est donc ceux la que recherchent les plateaux d ou l' ecremage systematique pratiqué .
rien d etonnant a ce que ton referent RMI ait trouvé ca , pas vraiment la gloire , les calls ratissent les anpe !
si ca te plait pas , ils mettront pas plus d une heure pour te virer ,avant les degats en clientele !
cool , des milliers de gens y passent regulierement !
Invité

Travail forcé

Message par Invité »

y a du taff en France, on s'éloigne des concepts fondamentaux, entre travail forcé et remise au boulot des gamins (et le reste aussi d'ailleurs):

"Adoptée en 1998, la Déclaration de l'OIT relative aux principes et droits fondamentaux au travail est l'expression de l'engagement des gouvernements, des organisations d'employeurs et des organisations de travailleurs de promouvoir les valeurs humaines fondamentales - valeurs qui sont de première importance pour notre vie économique et sociale.

Ces principes et droits sont:
-la liberté d'association et la reconnaissance effective du droit de négociation collective;
-l'élimination de toute forme de travail forcé ou obligatoire;
-l'abolition effective du travail des enfants;
-l'élimination de la discrimination en matière d'emploi et de profession."

A lire aussi, ce que je n'ai pas fait :
Une alliance mondiale contre le travail forcé : www.ilo.org
tristesir

Message par tristesir »

Valeriane:

J'ai un ami qui est aussi sous-pression de la meme maniere,
on lui parle de <<boulots tres alimentaires>> mais curieusement mon ami n'a pas osé demandé à son referent rmi ce qu'il entendait par là. Je me posais une question stupide, as tu dis à ton referent que tu n avais pas envie de travailler dans un call center?

je vais te depeindre l ambiance des deux call center que j ai visite (cetait y a 4 ou 5 ans mais je suis pret à parier que cela n a pas changé et que c'est pire)

-un boucan infernal sur le <<plateau>> des dizaines de gens qui parlent en meme temps au telephone.

-des compteurs au mur qui indiquent le <<delai moyen d attente>> si le call center est un truc genre hotline ou service commerciaux, (ce delai doit etre le plus faible possible donc tu bosses au rendement),
<<le nombre de gens en attente>>> et je dois en oublier un.

Tu as un chef d equipe constamment sur ton dos comme le type qui tape sur le tambour dans une galere pour marquer le rythme pour les esclaves qui rament.
Il ecoute tes conversations avec le client pour s 'assurer que tu fais le boulot qu il attend de toi. (c'est un point positif pour se faire virer rapidement: tu sabotes plusieurs conversations telephoniques pendant que le chef d equipe ecoute à mon avis tu ne restes pas longtemps)

Rester toute un journee au telephone, c'est avoir des migraines sans arret (pour certains) hors boulot.
et se faire insulter (surtout si tu sollicites les gens).

si le call center emet les appels, ca se fait sur un rythme infernal tu as quelques secondes entre la fin d un appel et l appel suivant dont le numero est compose par une machine sans que tu ne puisses intervenir.
J imagine que tu as 15 minutes de pause le matin et 15 minutes de pause l apres midi (en plus de ton temps de dejeuner)
les horaires de travail à la con si le call center emet seulement des appels: appeler des gens à 15h pour leur vendre des cuisines ce n'est pas tres productif, 19h c'est mieux. (j ai deja ete appele jusqu à 20h50)

Cool comme boulot non?
chris

Propositions d'emploi non souhaité et harcèlement moral.

Message par chris »

ouai , quand je disais cool ! c est de ne pas etre recruté bien sur !
j en ai visité et j en visites encore des centaines ! et je rejoins tout a fait tristesir , rien a rajouter , tout y est dit , et bien sur lui , c est une vision de l interieur ce qui ne gache rien !
moi je questionne souvent les gens et l impression que je ressens a chaque fois ,c est la peur et le stress , des fois j ai l impression de visiter des prisons ! des bagnes pardon !
les superviseurs sont la plupart du temps issu du plateaux et font donc de parfait kapo !
St-Dumortier

Message par St-Dumortier »

Bonjour,

valeriane69,
mon referent RMI, me pousse a accepter un poste de téléconseillère, car c'est un CDI, et me manace a mots couverts de radiation du RMI si je n'accepte pas le poste......pour moi c'est du harcèlement
dans votre situation on revient à une attitude individuelle. La "dérive" que beaucoup d'entre nous constatent selon que leur interlocuteur soit plus ou moin vindicatif.
Elle est interessante dans le sens ou elle se répetterait à plusieures reprises.
Je ne vous conseille pas de refuser cette proposition d'emploi mais bien (comme les autres intervenants) de démontrer que cet emploi n'est pas fait pour vous.
Il me parait simple de ne pas être embauchée. Donc acceptez d'aller à l'entretien.
Si entretien il y a, car votre référent dit que vous refusez un emploi, mais pour cela il faudrait qu'il vous présente un contrat accépté par un employeur et qu'il ne vous suffirait plus que de l'accepter vous même.
Demandez lui de vous présenter le fameux contrat que vous êtes sensée lui refuser.
Tiens!!! voilà une caractéristique du harcèlement: demander de ramener une chose qui n'existe pas.
A l'armée, on se fo....t des "bleus" en leur demandant de ramener la "clé des champs"...... Nous prennent vraiment pour des bleus ???
Sénior Bleu ????
C'est nouveau !!
nass

Message par nass »

st dumortier je trouve ton argument PARFAIT.
oui comment vont t'ils pouvoir obliger quelqu'un ne serais que d'etre a l'heure ect......
ils n'ons pas du reflechir sur ce point la. :lol:
valeriane69

Message par valeriane69 »

St-Dumortier a écrit :Bonjour,

valeriane69,
mon referent RMI, me pousse a accepter un poste de téléconseillère, car c'est un CDI, et me manace a mots couverts de radiation du RMI si je n'accepte pas le poste......pour moi c'est du harcèlement
dans votre situation on revient à une attitude individuelle. La "dérive" que beaucoup d'entre nous constatent selon que leur interlocuteur soit plus ou moin vindicatif.
Elle est interessante dans le sens ou elle se répetterait à plusieures reprises.
Je ne vous conseille pas de refuser cette proposition d'emploi mais bien (comme les autres intervenants) de démontrer que cet emploi n'est pas fait pour vous.
Il me parait simple de ne pas être embauchée. Donc acceptez d'aller à l'entretien.
Si entretien il y a, car votre référent dit que vous refusez un emploi, mais pour cela il faudrait qu'il vous présente un contrat accépté par un employeur et qu'il ne vous suffirait plus que de l'accepter vous même.
Demandez lui de vous présenter le fameux contrat que vous êtes sensée lui refuser.
Tiens!!! voilà une caractéristique du harcèlement: demander de ramener une chose qui n'existe pas.
A l'armée, on se fo....t des "bleus" en leur demandant de ramener la "clé des champs"...... Nous prennent vraiment pour des bleus ???
Sénior Bleu ????
C'est nouveau !!

Oui St Dumortier, Chris, Tristesir...
j'ai bien évidemment dit a mon référent que je ne veut pas etre téléconseillère, mais de toutes facons, je vais me présenter a l'entretien, et comme dirait ma mère "faire ma niaise", il y alors peu de chances qu'ils m'embauchent, d'autant que je n'ai aucune expérience de ce genre de boulot........ :?

Merci a tous pour vos conseils, et laissons ce fil voguer vers son sujet initial (dslée St Dumortier)
chris

Propositions d'emploi non souhaité et harcèlement moral.

Message par chris »

merci pour les remerciements , ca fait toujours plaisir !
oui c est le plus simple , exemple , une mauvaise elocution , tu bredouille un peu , c est redhibitoire pour ce genre de boulot , ca calmera ton referent ensuite !
bonne chance !
Didier_888

Message par Didier_888 »

Quand l'ANPE m'envoie des offres ne correspondant pas à mon niveau d'étude (en fait à peu près rien si ce n'est leur code ROME, j'imagine), je réponds avec une lettre bateau (celle qui me sert de point de départ pour rédiger mes vraies lettres de motivation) et le CV assorti. Je classe dans le dossier "Réponses ANPE" (j'en ai une dizaine comme ça).

Je ne vois pas l'intérêt de risquer des ennuis et de perdre du temps à justifier une non-réponse. (Il y a un papillon pour ça, d'ailleurs.) Mon profil est tellement décalé que le destinataire de la lettre ne risque pas de donner suite !

Pour ceux qui ont peur d'être pris quand même, ajoutez à la lettre des fautes d'orthographe et de français (pas trop quand même), et allongez les trous du CV (ou faites-en, en omettant les expériences trop éloignées du poste).

Si jamais il y a entretien, arrivez en retard et parlez lentement en jouant la dépression nerveuse.

Même pour des postes pourris, je pense que saboter une embauche n'est pas bien difficile. Si on le prend par le côté ludique, ça peut être amusant.

Cela dit, il faut malheureusement aussi savoir en rabattre. Pour la vente de force de travail, c'est les soldes toute l'année. Le Héron a fini par manger un limaçon...
TTM_FR

Message par TTM_FR »

Moi aussi, je pense qu'à nos jours ce qui est difficile c'est se faire embaucher! Mais, pour Valérianne69, peut-elle demander à changer de référent? :wink:
St-Dumortier

Message par St-Dumortier »

Bonjour,

Normalement non.
CODE DE L'ACTION SOCIALE ET DES FAMILLES
(Partie Législative) Section 4 : Contrat d'insertion Article L262-37
(Loi nº 2003-1200 du 18 décembre 2003 art. 23 Journal Officiel du 19 décembre 2003 en vigueur le 1er janvier 2004)

Dans les trois mois qui suivent la mise en paiement de l'allocation de revenu minimum d'insertion, l'allocataire et les personnes prises en compte pour la détermination du montant de cette allocation qui satisfont à une condition d'âge doivent conclure un contrat d'insertion avec le département, représenté par le président du conseil général.
Le président du conseil général désigne, dès la mise en paiement de l'allocation, une personne chargée d'élaborer le contrat d'insertion avec l'allocataire et les personnes mentionnées au premier alinéa et de coordonner la mise en oeuvre de ses différents aspects économiques, sociaux, éducatifs et sanitaires.
Le contenu du contrat d'insertion est débattu entre la personne chargée de son élaboration et l'allocataire. Le contrat est librement conclu par les parties et repose sur des engagements réciproques de leur part.
Le président du conseil général peut aussi, par convention, confier la mission définie au deuxième alinéa à une autre collectivité territoriale ou à un organisme, notamment l'un de ceux mentionnés à l'article L. 262-14.
Dans tous les cas, il informe sans délai l'allocataire de sa décision.
Mais en théorie, depuis le plan de cohésion sociale, un référent responsabilisé (y compris dans les demandes de radiation) devrait être au suivi de chaque bénéficiare.
Les premiers intéressés, le CCAS sont preneurs de subventions minables (+- 60 euros /an/bénéficiaire) pour ceux qui souhaitent agir et financer un poste. Mais selon que le maire sera ...

Ce référent, en capacité de suivre le parcours dans la globalité et dans le temps, n'existe pratiquement pas. Dans la pratique on a affaire à une multitude d'intervenants, qui usurpent plus ou moins le statut de référent rmi. Toujours dans leur intérêt et selon la structure à laquelle ils appartiennent... Evidement, ils sont payés à l'heure de parking et pour certains au bonus si retour à l'emploi.

Il me semble que valeriane69 rencontre un référent au PLIE (argent européen) local. Rien ne dit qu'il soit le référent désigné par le Président du Conseil Général.
Si tel est le cas, il doit avoir été notifié et lui avoir présenté le document qui autorise l'action. Est-il habilité à travailler le contrat d'insertion ?
probablement non et cette tâche reviens quasiment toujours au CCAS. Ce dernier, la plupart du temps reste dans une démarche strictement administrative.

C'est comme cela que vous êtes laché dans la jungle des chasseurs de subventions et votre peau vaut de l'or.
Y' des chasseurs féroces et des chassuers humains, mais c'est tous des chasseurs.
Ou pire,
des chasseurs d'images.
Ceux là viennent t'em....der rien que pour se gargariser de ta misère, comme on va voir un film qui fait peur, avant de se goinfrer au Mac Beurk.
CartagDE

Droits de l'homme (femme) - Renoncer librement à son droit

Message par CartagDE »

Non superuser, je ne crois pas que ceci relève de la sociologie, mais du droit, voire de la philosophie du droit.

Ce dont vous débattez là est étudié à l’université de Louvain – Belgique -, pour la Communauté européenne. Voici ce que j’avais repéré à l’époque de la campagne contre la constitution :

Document de travail du CRIDHO, « La libre disposition de soi et le règne de l’échange », qui procède à l’« examen individualisé des circonstances dans lesquelles une personne est amenée à renoncer à son droit, afin de déterminer si cette décision procède d’un choix libre. »

43 pages en PDF
Cellule de Recherche interdisciplinaire en Droits de l’Homme

http://cridho.cpdr.ucl.ac.be/index.php?pageid=9

Aucune idée de ce que cela donne en droit français.
St-Dumortier

Message par St-Dumortier »

Bonjour,

J’ai pris un peu de temps pour lire ce document, au demeurant fort intéressant, mais assez « pointu ». Je ne prétendrais pas en avoir saisi toutes les subtilités ni être en mesure de vous refaire la démonstration. Pourtant, dans l’éclairage des exemples pratiques qui y sont cités, on retrouve bien l’idée sous tendue par la notion de harcèlement. Le « contrat proposé » n’est pas une compensation acceptable du préjudice subi. (Perte d’emploi). Et par là même doit/peut logiquement être refusé. Vouloir « forcer«l’acceptation de ce choix revenant à pratiquer un harcèlement.

Pour en retirer application à ce qui nous occupe, il est nécessaire de réaliser une « conversion mentale » qui ne va pas forcément de soi. En effet nous débattons du refus éventuel d’un contrat (travail, formation ou action d’insertion) qui nous serait proposé. Il est très facile d’argumenter que la renonciation à ce droit entraînerait de facto la perte des indemnités qui compensent le préjudice représenté par la perte d’emploi.
Le document proposé par CartagDE débat des « circonstances dans lesquelles une personne est amenée à renoncer à son droit", afin de déterminer si cette décision procède d’un choix libre.
Dans notre situation ce « renoncement au droit » concernerait le droit à un emploi de droit commun.

Lecture difficile donc, mais dont je retire quand même l’explication rationnelle d’une argumentation que je pratique naturellement.
Vous le savez, lors de votre premier entretien, il vous est demandé le type d’emploi que vous recherchez. Il paraît légitime de vouloir accéder au droit de tout citoyen à posséder un emploi. Le contrat de droit commun étant le CDI Temps plein, tous les autres contrats sont considérés comme contrats d’exception.
C’est ainsi que je me refuse à sélectionner un CDI temps partiel, un CDD temps partiel ou une action de formation.
Entrer dans un tel contrat, (surtout le CDI temps partiel) revient en effet à renoncer à obtenir un CDI temps plein (contrat de droit commun auquel je peux prétendre de plein droit).
Certes, il est possible de renoncer à ce droit (et c’est tout le propos du document précité), mais qu’en est il de mon libre choix quand je renonce au CDI conséquemment à la pression de différentes contraintes (économiques, sociales, culturelles).
Les auteurs, Olivier De Schutter et Julie Ringelheim, semblent penser que cette renonciation ne serait qu’une façon de répondre à la situation dans laquelle [je serais] plongé.
Ni « libre », ni « éclairé », ni « concerté », le choix d’un contrat moindre que celui auquel je pourrais prétendre ne peut alors être considéré comme une renonciation légitime au droit que je possède d’obtenir un contrat de droit commun.

Prenons l’exemple de l’IVG qui est présenté dans le document.
Je résume : Aux Etats-Unis, une « CAF locale » ne rembourse pas les frais médicaux liés à l’IVG. Or les ressortissants de l’Etat ont le droit légitime d’avoir recours à l’IVG. Ils ont aussi le droit de renoncer à ce droit. (J’ai le droit de faire, mais aussi de ne pas faire).
Certaines personnes démunies vont renoncer à l’IVG en regard des contraintes financières induites par leur situation. (Et ce d’autant plus, soulignent les auteurs, que les frais liés à la maternité sont eux couverts par la législation).
Ainsi, la renonciation à l’IVG, n’est pas effectuée librement et ne « constitue pas l’instrument de l’émancipation de la personne ». Elle ne peut être reconnu comme une renonciation « libre et éclairée « dégageant de ses responsabilités, la partie tenue de respecter ce droit ».
L’état s’est donc vu contraint de rembourser les frais liés à l’IVG pour que le citoyen puisse librement exercer son choix d’accéder ou non à l’IVG.

Transposé en « Chômeur dans le texte », je peux argumenter qu’en acceptant un CDD temps partiel je renonce de fait à mon droit légitime de posséder un CDI temps plein (droit commun). Or ce choix n’est pas « libre, éclairé, concerté » et ne peux donc être considéré comme renonciation dégageant la partie tenue de respecter mon droit. (A fortiori, si le CDD m’est « vivement conseillé »).
Dans ce cas, l’acceptation d’un « contrat moindre » ne pourrait être valide que dans la « renonciation librement consentie » du contrat de droit commun. Et pour cela, il faut avoir possibilité d’un contrat de droit commun et que le contexte ne m’oblige pas, de fait, à renoncer à ce contrat.
Il appartiendrait donc à l’état de « transformer ce contexte » en préalable à ce que « la renonciation puisse prétendre constituer l’instrument de [mon] émancipation ».

Refuser un CDD et un CDI temps plein, conduirait donc logiquement à une radiation pour refus d’emploi, mais pas plusieurs propositions de CDD en cela que ce choix ne serait pas un renoncement « libre, éclairé, concerté » à obtenir un CDI.

………. ?????........Y a-t-il un avocat dans l’écran ?.............
Et de l’aspirine ? Est ce que quelqu’un a de l’aspirine, s’il vous plait ??
:)
valeriane69

Message par valeriane69 »

St-Dumortier a écrit : Il me semble que valeriane69 rencontre un référent au PLIE (argent européen) local. Rien ne dit qu'il soit le référent désigné par le Président du Conseil Général.
Si tel est le cas, il doit avoir été notifié et lui avoir présenté le document qui autorise l'action. Est-il habilité à travailler le contrat d'insertion ?
probablement non et cette tâche reviens quasiment toujours au CCAS. Ce dernier, la plupart du temps reste dans une démarche strictement administrative.
En fait,
je suis encore sous le système CLI, on a parlé avec mon référent de me faire basculer dans un PLIE mais rien pour l'instant.
La personne que je rencontre (très sympa au demeurant, puisque je lui ai dit clairement que téléconseillère......euhhhhh et que du coup il a pas insisté)
fait partie d'une association locale d'insertion. (L'ALPES a Lyon pour ceux que ca pourrait interesser).

Je ne sais pas si cela rentre dans les critères que vous énoncez dans votre post mon cher St, enfin voila c'était pour éclairer le débat!

bonne soirée a tous!

Valériane
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