Personnellement, je connais bien ANPE, Pôle Emploi et France Travail...
J'ai un bac C et un BTS IAAB (agroalimentaire sous option biotechno) et un DEAS. Et je ne suis pas douée pour les bla bla. Franchement.
Je voulais faire du labo. On ne nous avait pas dit que peu d'offres...
J'ai commis l'erreur, à la différence de mes camarades, de ne pas attendre... et accepter, en attendant, une mission intérimaire ouvrière...
Alors on n'est plus intéressant: plus l'aide au premier emploi... à la différence d'autres. Pas forcément disponible de suite... Et les offres étaient déjà rares... On reste inscrit mais Pôle emploi, contrairement à ce qu'on croit, même si inscrit pour être aidé à avoir son emploi... ben...
Et puis, une fois, vous tentez de suivre une formation en qualité (DEUST TQi dont j'avais validé un certain nombre de modules (que 2 que j'aurais dû repasser/première année)), tjrs pour retourner en labo: Pôle emploi vous dit niet, même si vous réussissez. Et comme non financée, et qu'avant bossé, impôts etc. à l'époque, ben bien obligé d'arrêter...
Et retour au boulot d'ouvrière et genre. Faire ce que pôle emploi et réatterrir chez pôle emploi dès que marre de faire ça, que 0 progression, 0 formation, etc.
Je n'oublierais déjà jamais 2016: à force, j'ai développé une arthrose au niveau des poignets et une douleur... et à, peu à peu, perdre de la force au niveau des poignets... Je n'ai plus pu faire ce que je faisais en intérim. Donc ré-inscrite.
Je n'ai pas vu ma conseillère. Je n'avais aucun conseil, rien. On m'écrivait juste que j'avais emploi store à ma disposition.
J'ai fini par envoyer une lettre recommandée avec avis de réception (comme, dans l'agence, on m'a refusé de la voir et qu'à mes mails, je n'avais pour réponse que "emploi store"). Elle a apparemment bien été livrée. J'ai eu un mail me disant que j'avais eu un échange. Et de regarder sur emploi store...
Seule, au bout d'un an, à finalement me tourner vers la GD, m'aidant, à l'époque de "la bonne boite" pour postuler.
Reconnue travailleuse handicapée, je me suis mise à dépendre de Cap emploi. On m'a dit que si on arrivait à me donner une mission de femme de ménage, je devrais être contente.
Cap emploi comme MDPH n'ont pas voulu entendre de me former à l'informatique et au numérique. Et, ce, bien que le psy de pôle emploi, en 2019, requis par France Travail (parce que je les faisais sch avec mes courriers où je leur remontais mes recherches, mes entretiens, mes emplois et ce qui avait marché et ce qui n'avait pas marché... afin de tenter d'être aidée à ce que quelque chose marche...), me fasse passer des tests de logique, de maths, d'anglais, de français et d'informatique, et se mette à jubiler et à me saouler avec son "numérique"...
Donc j'ai continué comme j'ai pu, avec des périodes de chômage de plus en plus importantes, puisqu'à ne pas être vraiment reconvertie...
(Et le psy, en 2020, est décédé d'un cancer. Et personne n'a pris le relais à sa place, à l'époque, dans cette région/moi. On m'a juste balancé direct qu'il était mort, qu'on regrettait car il était bien pratique...)
J'ai atterri chez ma mère pour chercher dans sa région du travail... et j'ai trouvé une mission hebdomadaire renouvelable. Un dimanche, n'ayant pas été soignée pour une entorse de la cheville, celle-ci n'a pas tenue et je suis tombée sur une dalle dans le jardin et je me suis fracturée malléole, tibia et péroné à 2 endroits, et, quelques jours après, ma mère (82 ans) ayant voulu m'emmener à un rdv médical et démarrant alors que je descendais: le radius distal. Donc tous les membres à gauche immobilisés pendant plusieurs mois.
Alors que j'avais fourni les preuves à la sécu, CAF, et France Travail (compte-rendu et radio en prime), que France Travail m'avait mise dans les "non-actualisés" et "non indemnisés", ma conseillère France Travail, que j'avais pourtant informée, que je n'ai jamais vue, et pas très sympa, s'est mise à me couvrir d'offres d'emplois. A m'avoir même téléphoné en plein arrêt maladie. A lui rappeler que j'étais en arrêt, que je ne pouvais pas marcher, ni même conduire, etc. (et avec des béquilles sous les aisselles pour me mouvoir). Elle à s'obstiner et me demander de venir à un jobdating et répondre à une offre pour un poste à pouvoir "en urgence" commençant dans une semaine... Et comme j'ai dit ne pas pouvoir, elle m'a envoyé un courrier comme quoi je n'étais pas intéressée, mais sans préciser que ce n'était pas que pas intéressée, mais que j'étais actuellement en arrêt maladie et que je ne pouvais pas me déplacer!
Comme elle continuait de m'envoyer des tas de propositions (alors qu'aucune avant mon arrêt...), j'ai fini par mettre sur Linkelnd mon état et publier ses courriers... avec des "#". Ça a été radical: elle m'a enfin laissée tranquille brutalement... (Ça avait été une vraie peste avec moi dès le début alors que jamais vue, jamais connue. Gratuit.)
J'ai été radiée de France Travail vu que mon arrêt maladie a duré... (6 mois pour que ça consolide, surtout au niveau du radius où, même si j'ai définitivement une plaque de métal dans le poignet, le déplacement n'a pas été totalement réduit et donc mis du temps à. Enfin parce que je suis à la limite-limite de l'ostéoporose (alors que je n'ai commencé à ménopauser que l'année dernière, avec mon dernier vaccin anti-COVID (arrivé juste après que règles irrégulières puis disparues. Ça me permet de me situer dans le temps. Et aussi parce que j'ai eu des troubles neurologiques importants mais la neuro, post IRM spécial, a dit que probablement dû au vaccin et que ça disparaitrait avec les effets du vaccin)))
Je me suis réinscrite depuis chez ma mère, une fois suffisamment consolidée pour avoir le droit de retravailler. J'ai eu trop mal pour reprendre le poste de travail intérimaire passé. Ça me lançait dans les talons, genoux, hanches, coudes et sur le dessus de la main, et à ne plus sentir le bout de mes doigts (même en prenant 3 fois par jour et anti-inflammatoire et antalgique)... Le médecin du travail ne proposant que un arrêt longue maladie, pas de dire d'éviter le port de charge... Et à prétendre que, à mon âge, il ne croit pas à l'arthrose et refuser de lire les compte-rendus médicaux, et à me trouver bien énervée.... Il a été écrire à l'agence d'intérim "nécessite des soins médicaux". Comme la GD, en +, n'avait plus besoin de moi, vue la baisse de fréquentation de la poissonnerie (port des bacs le soir), je me suis retrouvée sans rien et l'agence ne m'a pas re-proposé de mission... stoppée par ce courrier trop vague et pas rassurant.
J'ai eu un conseiller France Travail "adapté aux handicapés" et une psychologue de France travail... (elle, un rdv tous les deux mois environ, et pour ne parler que travail, et de rien en lien avec le travail (difficulté logement, difficulté familiale, etc.))
Parce qu'actuellement j'ai de la MDPH depuis 2017 un "accompagnement public vers l'emploi".
Mon conseiller a jugé que je pouvais être employée polyvalente comme emploi acceptable. Mais quand je postule à ce type de travail, il rejette ma candidature du fait de mon handicap physique.
Il répond à quelques questions.
Quand je lui expose mes difficultés à trouver un emploi, voir même un stage, il me répond juste qu'il me remercie de ces informations et me souhaite bon courage...
Je ne reçois aucune proposition. Mais vu autrefois où mon ancienne conseillère ne m'envoyait QUE ce qu'elle savait que je ne pouvais pas faire... ou à l'autre bout de la France... AU moins, lui, il n'est pas méchant. En +, je l'ai rencontré (déjà ça).
Et ils attendent après la MDPH du département pour savoir si, oui ou non, elle va m'accorder une formation dans le numérique.
Avant, ma conseillère m'avait proposé une formation dans le numérique mais niveau licence (alors que je n'ai pas la base) et en ligne. Je me suis faite pirater, j'ai demandé de l'aide. On m'a répondu que jusqu'à la fin de la formation, pas le droit de travailler, et de me d.../mes problèmes de piratage en ligne et retard pris. Je n'ai pas pu valider dans l'année la licence et on m'a refusé l'utilisation de mon CPF pour finir cette licence pour l'avoir... J'ai donc déjà quelques connaissances mais insuffisamment les bases (la partie BTS, jamais vu) et le reste de la licence.
En attendant, j'accumule les échecs. Je me sens quand même très seule. Et à ne pas trop savoir quelles entreprises aller voir, etc.
"La bonne boite" n'est plus du tout ce qu'elle était avant (connue en 2016 et potentiellement avant): avant, les suggestions étaient excellentes et il n'était proposé que celles qui avaient des probabilités d'embaucher. Maintenant, déjà ils ne fournissent plus les noms des personnes à contacter (alors qu'avant si), ni tjrs le moyen de contact préféré, mais, en +, bcp auxquels j'ai postulé ne cherchent pas, et ne vont pas dans les mois à venir... mais, en +, aujourd'hui, alors qu'ils indiquent qu'on peut postuler via le site, tous ceux chez qui j'ai postulé, quand j'ai relancé par téléphone, m'ont dit n'avoir jamais reçu ma candidature, ne pas connaitre et ne pas avoir mon CV... et, de son côté, l'application - site à prétendre avoir bien envoyé ma candidature!!!
Donc, déjà, au cours du temps, on a perdu une application qui marchait super, était vraiment bien, et qui, maintenant, est franchement nulle dans ses propositions...
Quand aux autres sites de l'Etat, pour une alternance, ainsi que pour un stage: pas plus de succès... Bcp me disant, en +, que comme immergés de jeunes puis de personnes devant valider leur formation, ils ne se voyaient pas me prendre en stage d'immersion en +...
La cinquantaine passée, ça n'aide pas. En +.
Et être à l'ASS non plus.
J'ai aussi essayé le dispositif "je veux aider" du gouvernement, pour me rendre utile... Mais ça fait comme si on postulait à un emploi... Motiver... et, en +, le problème physique..., alors qu'ils ont des tas de jeunes délinquants ou en marge, qui sont physiquement aptes...
Pour finir, j'ai crû lire que le travail de ceux au RSA, ça ne concerne que ceux qu'on juge très aptes et intéressants pour les employeurs... pas ceux en situation de handicap. (Et, actuellement, je ne suis pas au RSA. Et comme ma mère m'a viré 2 000€ pour faire réparer ma voiture quand tombée en panne sur l'autoroute/ job-dating suivi d'un bénévolat derrière..., la région m'a fait non seulement savoir que je devais déclarer tout l'argent que mes parents me versaient pour m'aider... mais que je n'avais pas droit au RSA, vu que j'avais reçu de l'argent de ma mère sur mon compte. Que je ne devais pas oublier de le déclarer en "pension alimentaire" quand un de mes parents me donnait de l'argent, pour quoique ce soit).
Et je pense qu'on en est qu'au début. Wauquiez n'est pas un enfant de coeur ni un gentil à mon goût.
Et si, comme j'ai entendu lors d'une conférence réunissant que des patrons à Thesame, lors du seul jour ouvert au public pendant la fête des sciences ("esprit critique"), ils vont licencier massivement, remplaçant les gens par les machines et les IA, et n'embauchant que des profils bien particuliers derrière, et leur soucis + de savoir "avec quel argent" payer ceux "définitivement au chômage", et "comment réussir à avoir suffisamment d'énergie pour alimenter les machines, si avec les Limky on peut limiter la consommation des particuliers au profit des entreprises, sinon comment faire", on n'est qu'au début de ce qu'on va souffrir...
Surtout qu'ils semblent décider de faire vivre les gens qu'avec 600€/mois... et que les gens s'entraident, fassent du bénévolat... pour s'en sortir... sans que "les autres" se donnent + de peine... vu ce qu'il semble se mettre en place... Après, on peut tjrs espérer mieux... Mais je doute.
Et les riches entre eux, surtout ceux ayant le même esprit psychologique, sans qu'ils soient dits, se soutiennent, qu'ils soient Catho, Musulmans, Juifs, ou... Ai-je tord? Sincèrement, dans les actes? Après avoir joué la comédie, réellement?!
Comme j'ai dit, il suffit de voir où a fini Faber, et pas que lui. Et comment la presse a aussi réagit quand nos jeunes de grandes écoles, se sont parfois, pour certains, révoltés, obligeant même Jancovici à dire qu'il n'y était pour rien, de ne pas le rendre responsable de ce soulèvement/ce que préparent ceux qui ont le pouvoir...
Mon vécu...
Re: Mon vécu...
Ben dites-donc… Quel débit d'écriture ! Vous êtes inscrite sur nos forums depuis quelques heures et vous y déversez des tombereaux de mots… Vous écrivez à une vitesse ahurissante.
Attention cependant ! Comme je vous l'ai conseillé ailleurs, tentez de canaliser (orienter) vos interventions. Certaines partent dans tous les sens.
Et un conseil : Faites plus court aussi, plus concis. Parce que les gens ne lisent pas les "pavés de texte" (sauf quand ils sont bien construits, aérés et hiérarchisés).
Votre production est tout à la fois dense et finalement très dispersée. Oximore ! Il faut disposer de temps pour vous lire et trouver un angle pour vous répondre. Croyez-en mon expérience (20 ans d'animation de forums), avec vous ce n'est pas facile.
Je vous dis ça uniquement pour favoriser les échanges et interactions. Autrement, ça risque fort de virer au "monologue".
Sinon, votre "parcours" est pour le moins chaotique et assez malchanceux, j'en suis bien attristé pour vous. On aimerait pouvoir vous aider et/ou vous soutenir mais, comme je vous l'écris plus haut, on ne sait pas par où commencer.
Attention cependant ! Comme je vous l'ai conseillé ailleurs, tentez de canaliser (orienter) vos interventions. Certaines partent dans tous les sens.
Et un conseil : Faites plus court aussi, plus concis. Parce que les gens ne lisent pas les "pavés de texte" (sauf quand ils sont bien construits, aérés et hiérarchisés).
Votre production est tout à la fois dense et finalement très dispersée. Oximore ! Il faut disposer de temps pour vous lire et trouver un angle pour vous répondre. Croyez-en mon expérience (20 ans d'animation de forums), avec vous ce n'est pas facile.
Je vous dis ça uniquement pour favoriser les échanges et interactions. Autrement, ça risque fort de virer au "monologue".
Sinon, votre "parcours" est pour le moins chaotique et assez malchanceux, j'en suis bien attristé pour vous. On aimerait pouvoir vous aider et/ou vous soutenir mais, comme je vous l'écris plus haut, on ne sait pas par où commencer.
Re: Mon vécu...
...Heureusement qu'elle dit qu'elle "n'est pas douée pour les bla-bla"