mars 2024
Bonjour,
Je souhaiterais partager mon expérience.
A la suite d'une carrière de 8 années comprenant 3 promotions j' ai fait un Burnout.
J'ai été vendeur, manager adjoint puis manager pour une entreprise prestigieuse.
J'ai décidé de quitter mon employeur avec une rupture conventionnelle en septembre 2020, pendant la période COVID.
A partir de là j'ai suivi une thérapie et cherché du travail. N'en trouvant pas j'ai décidé d'engager un nouveau projet. Ouvrir une pâtisserie en Angleterre. Ma femme étant anglaise et suite à la naissance de notre fils nous avons eu envie de nous rapprocher de sa famille.
En janvier 2021 je me suis lancé sur ma préparation en demandant mon visa, en commençant mon BTS en VAE, que j'ai validé en novembre 2021 et en m'engageant sur un CAP pâtissier.
En juillet 2021 je suis devenu stagiaire dans une pâtisserie et j'ai fait ça jusqu'en mars 2022. En mars 2022 j'ai signé un contrat dans une pâtisserie pour continuer à me former tout en touchant un salaire mais le patron ne m'a pas validé, faute de coût, suite à l'inflation.
Ma femme ne souhaitant plus partir en Angleterre, et l'implantation en France étant trop compliquée sur le marché du commerce de bouche, spécialement en pâtisserie durant une période de pleine inflation j'ai décidé d'arrêter ce projet.
De plus je suis un papa très proche de mon fils et il est devenu ma priorité absolue. Je ne voulais pas sacrifier ma disponibilité pour mon fils au détriment d'une profession.
J'ai de ce fait décidé de retourner dans mon ancien métier et je suis devenu directeur de boutique pour une petite entreprise.
Cela s'est mal passé, notamment dans mes rapports avec ma direction qui me demandait toujours plus de flexibilité et en conséquence de cette pression que j'avais du mal à gérer mes rapports avec mon équipe se sont dégradés.
J'ai été licencié pour insuffisance professionnel en mars 2023. En mai j'ai été engagé comme responsable adjoint dans une entreprise prestigieuse mais ma période d'essai n'a pas été validée. A 2 jours de la fin, au bout de 4 mois.
En septembre 2023 j'ai décidé de passer un bilan de compétences, qui m'a mené vers une reconversion vers le métier de professeur en économie et gestion option commerce et vente. Je prépare actuellement le concours.
Je ne sais plus quoi penser de ce parcours. J'ai l'impression d'être perdu, à part et instable. J'ai quelquefois honte de ça. Comment le super manager d'une entreprise prestigieuse a t il pu tomber si bas.
Et quelquefois je suis heureux de la vie que j'ai. Je suis hyper présent pour mon fils, en bien meilleure santé et ma préparation au concours me plaît. Je travaille dur pour essayer d'obtenir ce concours. Je me dis que ma reconversion professionnelle pourra me permettre d'exercer une activité en adéquation avec mes aspirations, mes valeurs, ma vie de famille et faire le bien autour de moi en utilisant ce que j'ai de meilleur en moi.
Est ce normal de ressentir de la honte ? Quel est votre ressenti par rapport à ce parcours ?
Parcours d'un ancien cadre au chômage
Re: Parcours d'un ancien cadre au chômage
Je pense que nos dirigeants et ça ne date pas d'hier ont conçu la société de façon à ce qu'elle mette la pression sur les travailleurs, à tous les niveaux. C'est peut-être plus récent que cela touche aussi les cadres, mais ça a déjà plusieurs années aussi. Un des moyens de pression est de faire honte aux gens qui sont au chômage, à ceux qui ne gagnent pas des tonnes de fric, à ceux qui ont des trous dans leurs CV.
Il n'y a pas de raison objective à ce que vous ayez honte, ceux qui font des burn-out sont généralement ceux qui s'impliquent dans leur travail, le milieu professionnel est devenu tellement perversqu'il favorise ceux qui se fichent de leur travail mais savent bien lécher les bottes.
Vous avez 100% raison de vouloir faire passer votre famille avant le travail!
Il n'y a pas de raison objective à ce que vous ayez honte, ceux qui font des burn-out sont généralement ceux qui s'impliquent dans leur travail, le milieu professionnel est devenu tellement perversqu'il favorise ceux qui se fichent de leur travail mais savent bien lécher les bottes.
Vous avez 100% raison de vouloir faire passer votre famille avant le travail!
Re: Parcours d'un ancien cadre au chômage
Il y aura toujours une personne qui aura un jugement sur votre choix de vie, il faut savoir ou apprendre à s'en foutre. Mais l'essentiel c'est que vous, vous soyez en accord avec vos envies et votre bien-être qui est indispensable pour l'harmonie de votre famille. Le travail n'est en aucun cas l'aboutissement d'une vie réussie, vos échecs sont des atouts et vous avez l'air d'en être conscient puisque que vous déclarez être heureux de la vie que vous avez aujourd'hui et ne restez pas oisif en essayant de passer ce concours. J'aime beaucoup votre façon intelligente de voir les choses, ça prouve que vous y avez réfléchi et que vous êtes sur le bon chemin, celui du bonheur... Vous pouvez relever la tête et être fier !
Dernière modification par ZNATION le 25 mars 2024, modifié 1 fois.
Re: Parcours d'un ancien cadre au chômage
J'abonde dans le même sens que mes camarades
Aucune raison d'avoir honte de votre parcours, les échecs font partie de la vie, qui n'en a pas connus ?
L'essentiel est d'en retirer des leçons, comme le fait que rien est acquis dans la vie. seuls les gens intelligents se remettent en question, les autres, les vaniteux, on en a une floppée au sein de nos dirigeants, n'apprennent rien, et s'obstinent dans la même voie alors qu'ils sont dans l'échec total et par dessus le marché, méprisés par la France entière ou du moins une majorité
Vous, en plus d'avoir su rebondir après avoir été lâchement lâché, vous pouvez être fière d'avoir compris que l'essentiel est ailleurs qu'à se faire mener par le bout du nez par de pauvres petits chefs malfaisants qui veulent se prouver on ne sait trop quoi
Après cette prise de conscience vous êtes assurément sur la bonne voie, celle du renouveau, de l'apaisement et de la délivrance
Aucune raison d'avoir honte de votre parcours, les échecs font partie de la vie, qui n'en a pas connus ?
L'essentiel est d'en retirer des leçons, comme le fait que rien est acquis dans la vie. seuls les gens intelligents se remettent en question, les autres, les vaniteux, on en a une floppée au sein de nos dirigeants, n'apprennent rien, et s'obstinent dans la même voie alors qu'ils sont dans l'échec total et par dessus le marché, méprisés par la France entière ou du moins une majorité
Vous, en plus d'avoir su rebondir après avoir été lâchement lâché, vous pouvez être fière d'avoir compris que l'essentiel est ailleurs qu'à se faire mener par le bout du nez par de pauvres petits chefs malfaisants qui veulent se prouver on ne sait trop quoi
Après cette prise de conscience vous êtes assurément sur la bonne voie, celle du renouveau, de l'apaisement et de la délivrance
Re: Parcours d'un ancien cadre au chômage
Merci pour vos messages. A 2 jours de mon concours ça fait du bien de lire ça.
Je suis totalement d'accord avec leur ensemble.
C'est ce que je ressens. Aujourd'hui je souhaite me battre pour être disponible pour ma famille, bien plus que pour faire de l'argent ou avoir du pouvoir.
Il y a quelques années ce n'était pas le cas mais j'ai fini par prendre conscience de ce qui est le plus important pour moi.
Et c'est ce qui me différencie finalement et m'oblige d'avantage à choisir la reconversion professionnelle.
Toutefois je dois avouer que sortant d'un milieu soit disant élitiste mais surtout sectaire cela n'est pas simple psychologiquement. J'ai travaillé dur pendant plusieurs années chez mon premier employeur, obtenu plusieurs promotions et des résultats positifs et j'ai été apprécié par les équipes et la direction. Jusqu'au jour où ça a changé et on commencé à me traiter avec moins d'égard.
A la suite de mon Burnout et de ma rupture conventionnelle les collègues avec qui j'ai travaillé ainsi que les personnes que j'ai entraîné vers le haut ont fini par me descendre.
Je me suis senti trahi, et j'ai fini par ressentir de la honte. Comme si finalement je n'avais pas été à la hauteur...
Le licenciement pour insuffisance puis la rupture d'une période d'essai ont été finalement d'avantage difficiles à vivre mais ont été très révélateur. Sorti de l'entretien de fin de période d'essai le premier réflexe que j'ai eu a été le bilan de compétences.
Aujourd'hui j'essaie de tourner définitivement la page mais c'est loin d'être simple...
Je suis totalement d'accord avec leur ensemble.
C'est ce que je ressens. Aujourd'hui je souhaite me battre pour être disponible pour ma famille, bien plus que pour faire de l'argent ou avoir du pouvoir.
Il y a quelques années ce n'était pas le cas mais j'ai fini par prendre conscience de ce qui est le plus important pour moi.
Et c'est ce qui me différencie finalement et m'oblige d'avantage à choisir la reconversion professionnelle.
Toutefois je dois avouer que sortant d'un milieu soit disant élitiste mais surtout sectaire cela n'est pas simple psychologiquement. J'ai travaillé dur pendant plusieurs années chez mon premier employeur, obtenu plusieurs promotions et des résultats positifs et j'ai été apprécié par les équipes et la direction. Jusqu'au jour où ça a changé et on commencé à me traiter avec moins d'égard.
A la suite de mon Burnout et de ma rupture conventionnelle les collègues avec qui j'ai travaillé ainsi que les personnes que j'ai entraîné vers le haut ont fini par me descendre.
Je me suis senti trahi, et j'ai fini par ressentir de la honte. Comme si finalement je n'avais pas été à la hauteur...
Le licenciement pour insuffisance puis la rupture d'une période d'essai ont été finalement d'avantage difficiles à vivre mais ont été très révélateur. Sorti de l'entretien de fin de période d'essai le premier réflexe que j'ai eu a été le bilan de compétences.
Aujourd'hui j'essaie de tourner définitivement la page mais c'est loin d'être simple...
Re: Parcours d'un ancien cadre au chômage
Bonjour,
Commencez par sortir de leur "narratif culpabilisant". N'utilisez plus les mots "prestigieux" (quand vous parlez de vos employeurs), "élitiste" (quand vous évoquez vos origines familiales) ou "honte" (quand vous exprimez votre ressenti).
Vous êtes aujourd'hui sous "l'influence" de conventions castratrices. Sortez IMPÉRATIVEMENT de ça !
Vous devez au contraire être satisfait de votre parcours qui se déroule avec des hauts et des bas, comme pour beaucoup. Les "plus grands" connaissent des traversées du désert, des trahisons, des changements de cap parfois radicaux, des déceptions colossales… La vie n'est pas un long fleuve tranquille. Nous en sommes tous ici témoins.
Vous avancez. Et vous comprendrez plus tard que votre cheminement est cohérent même s'il est par moments inconfortable. Les pièces du puzzle finissent par s'emboiter…
Commencez par sortir de leur "narratif culpabilisant". N'utilisez plus les mots "prestigieux" (quand vous parlez de vos employeurs), "élitiste" (quand vous évoquez vos origines familiales) ou "honte" (quand vous exprimez votre ressenti).
Vous êtes aujourd'hui sous "l'influence" de conventions castratrices. Sortez IMPÉRATIVEMENT de ça !
Vous devez au contraire être satisfait de votre parcours qui se déroule avec des hauts et des bas, comme pour beaucoup. Les "plus grands" connaissent des traversées du désert, des trahisons, des changements de cap parfois radicaux, des déceptions colossales… La vie n'est pas un long fleuve tranquille. Nous en sommes tous ici témoins.
Vous avancez. Et vous comprendrez plus tard que votre cheminement est cohérent même s'il est par moments inconfortable. Les pièces du puzzle finissent par s'emboiter…
Re: Parcours d'un ancien cadre au chômage
Merci beaucoup Yves pour votre message.
Je ne mentionnait pas ma famille quand je disais élitiste, mais les entreprises dans lesquelles j'ai évolué.
Au contraire ma famille exerce principalement dans la fonction publique (professeur, instituteur, secrétaire, animateur en centre aéré et mairie) et un peu en tant qu'artisan chef d'entreprise.
Votre message est dur, direct mais très bienveillant et je vais pouvoir cogiter dessus.
D'autre part l'espoir est finalement ce qui me reste de plus fort. Mais après 4 années de mouvement comprenant du chômage il y a des jours où cet espoir est difficile à maintenir et le doute m'envahit. Il est temps que cela s'arrête.
Je ne mentionnait pas ma famille quand je disais élitiste, mais les entreprises dans lesquelles j'ai évolué.
Au contraire ma famille exerce principalement dans la fonction publique (professeur, instituteur, secrétaire, animateur en centre aéré et mairie) et un peu en tant qu'artisan chef d'entreprise.
Votre message est dur, direct mais très bienveillant et je vais pouvoir cogiter dessus.
D'autre part l'espoir est finalement ce qui me reste de plus fort. Mais après 4 années de mouvement comprenant du chômage il y a des jours où cet espoir est difficile à maintenir et le doute m'envahit. Il est temps que cela s'arrête.
Re: Parcours d'un ancien cadre au chômage
Vous échangez ici avec des gens qui, pour certaines et certains, ont connu des galères professionnelles, personnelles et/ou familiales qui, parfois, ont eu raison de leur vie.
Je pense à nos Amies Sophie et Maguy, à notre pote Fred… entre autres. Tous disparus bien trop tôt, dont les parcours chaotiques ont écourté leur espérance de vie…
Préservez-vous ! Restez dans le "courant familial" tant sur le champ professionnel qu'affectif. Ne vous laissez pas malmener par un système pour lequel vous n'êtes possiblement pas fait ("cadre dans une entreprise prestigieuse").
À vous lire, je n'ai pas trop d'inquiétude. Vous avez le recul nécessaire pour gérer cette reconversion, ce rebond… qui en appellera d'autres.
Je pense à nos Amies Sophie et Maguy, à notre pote Fred… entre autres. Tous disparus bien trop tôt, dont les parcours chaotiques ont écourté leur espérance de vie…
Préservez-vous ! Restez dans le "courant familial" tant sur le champ professionnel qu'affectif. Ne vous laissez pas malmener par un système pour lequel vous n'êtes possiblement pas fait ("cadre dans une entreprise prestigieuse").
À vous lire, je n'ai pas trop d'inquiétude. Vous avez le recul nécessaire pour gérer cette reconversion, ce rebond… qui en appellera d'autres.
Re: Parcours d'un ancien cadre au chômage
Le problème, c'est que cela fait maintenant un bon bout de temps qu'on bourre le crane de tout le monde avec des injonctions comme : pour réussir dans la vie, il faut à tout prix travailler, de préférence avoir un bon job, pour soit-disant être reconnu et valorisé, et gagner beaucoup d'argent pour pouvoir consommer toutes ces choses qui sont absolument nécessaires pour montrer aux autres que l'on a réussi (le dernier téléphone à la mode, la grosse TV, la belle voiture, le petit pavillon et les vacances au soleil pour pouvoir afficher de belles photos sur les réseaux sociaux !).
Le problème est que tout cela est non seulement faux, mais en plus contribue encore plus à détruire l'environnement et à nous précipiter encore plus vite dans le mur ...
Mais bon, la pression de la société et des réseaux sociaux est telle, que tout le monde veut entrer dans le moule et afficher sa réussite.
Mais la vie ce n'est pas cela. C'est avant tout la santé, la famille et se sentir bien.
Même si on ne travaille pas ou on a pas un job de rêve, mais si on ne s'achète pas toutes ces choses, même si aux yeux des autres "on a pas réussi" voire "on a raté notre vie".
Le regard des autres, il faut s'en détacher, mais quand on voit comment les gens sont accrocs à leurs téléphones, leurs selfies et les réseaux sociaux, ce n'est pas évident.
Moi aussi j'ai d'abord bossé dans le privé, un bon job, car j'avais fait des études pour.
Mais au fil des années, de l'investissement colossal, de la non-reconnaissance, des tâches de plus en plus nombreuses, de la pression, j'ai fait un burn-out.
Moi aussi j'ai voulu me reconvertir, et j'ai préparé pendant plus d'un an un concours de la fonction publique réputé hyper difficile. J'ai eu mon concours du premier coup avec de très bonnes notes.
Malheureusement, dans le poste que j'ai trouvé, j'ai subi du harcèlement qui m'a conduit à un second burn-out (comme quoi la vie n'est pas plus rose côté fonction publique, faites attention à vous !).
Et est-ce la conséquence de cela, mais une autre pathologie s'est déclarée qui fait que je ne peux plus travailler.
Alors oui, aujourd'hui je vis avec une misère, mais en m'organisant bien je m'en sors (en éliminant bien sûr le superflu que la société nous impose comme nécessaire, mais c'est faux).
Je me fous complètement du regard des autres et de ce que pense les autres de moi.
Et franchement, je suis bcp plus heureux aujourd'hui, même s'il a fallu que je perde la santé pour le comprendre ...
Le problème est que tout cela est non seulement faux, mais en plus contribue encore plus à détruire l'environnement et à nous précipiter encore plus vite dans le mur ...
Mais bon, la pression de la société et des réseaux sociaux est telle, que tout le monde veut entrer dans le moule et afficher sa réussite.
Mais la vie ce n'est pas cela. C'est avant tout la santé, la famille et se sentir bien.
Même si on ne travaille pas ou on a pas un job de rêve, mais si on ne s'achète pas toutes ces choses, même si aux yeux des autres "on a pas réussi" voire "on a raté notre vie".
Le regard des autres, il faut s'en détacher, mais quand on voit comment les gens sont accrocs à leurs téléphones, leurs selfies et les réseaux sociaux, ce n'est pas évident.
Moi aussi j'ai d'abord bossé dans le privé, un bon job, car j'avais fait des études pour.
Mais au fil des années, de l'investissement colossal, de la non-reconnaissance, des tâches de plus en plus nombreuses, de la pression, j'ai fait un burn-out.
Moi aussi j'ai voulu me reconvertir, et j'ai préparé pendant plus d'un an un concours de la fonction publique réputé hyper difficile. J'ai eu mon concours du premier coup avec de très bonnes notes.
Malheureusement, dans le poste que j'ai trouvé, j'ai subi du harcèlement qui m'a conduit à un second burn-out (comme quoi la vie n'est pas plus rose côté fonction publique, faites attention à vous !).
Et est-ce la conséquence de cela, mais une autre pathologie s'est déclarée qui fait que je ne peux plus travailler.
Alors oui, aujourd'hui je vis avec une misère, mais en m'organisant bien je m'en sors (en éliminant bien sûr le superflu que la société nous impose comme nécessaire, mais c'est faux).
Je me fous complètement du regard des autres et de ce que pense les autres de moi.
Et franchement, je suis bcp plus heureux aujourd'hui, même s'il a fallu que je perde la santé pour le comprendre ...
Re: Parcours d'un ancien cadre au chômage
Pitchoun,
Bien d'accord avec ce besoin de "paraître" dans nos sociétés.
les réseaux sociaux n'ont rien arrangé.
J'avais retenu une phrase pleine de bon sens : "méfie toi de quelqu'un qui a un écran de TV plus large que sa bibliothèque !".
Tt77 je ne vois rien de mieux à ajouter aux précédents messages, à part BONNE CHANCE à vous
Bien d'accord avec ce besoin de "paraître" dans nos sociétés.
les réseaux sociaux n'ont rien arrangé.J'avais retenu une phrase pleine de bon sens : "méfie toi de quelqu'un qui a un écran de TV plus large que sa bibliothèque !".
Tt77 je ne vois rien de mieux à ajouter aux précédents messages, à part BONNE CHANCE à vous
