Sur ce sujet spécifique (conflit israélo-palestinien), la suite de la discussion se mène à présent sur notre fil d'infos complotistes.
Révélations choquantes : Netanyahou admet avoir trompé les États-Unis et frapper intentionnellement les Palestiniens
https://forums.actuchomage.org/viewtopi ... 8#p1149988
Alain Soral : De la guerre civile à la libération de la France
Re: Alain Soral : De la guerre civile à la libération de la France
Le conflit israélo-palestinien vu par Alain Soral et Youssef Hindi (contextes historique, biblique, géostratégique, contemporain…).
https://www.youtube.com/watch?v=OzABPgCpEmw
https://www.youtube.com/watch?v=OzABPgCpEmw
Re: Alain Soral : De la guerre civile à la libération de la France
Antisémitisme, antijudaïsme, antisionisme… Ce qui est interdit, ce qui est autorisé.
Petit rappel des définitions et de leur validité...
L’antisémitisme désigne les sémites. Et le sémitisme est une théorie linguistique qui désigne les peuples qui pratiquent une langue sémitique. L’antisémitisme est donc un terme particulièrement impropre pour parler des juifs, puisque les sémites de très loin les plus nombreux sont les Arabes...
Le terme sémite est d’autant plus impropre pour parler des Israéliens, étant donné que la plupart des juifs d’Israël sont originaires d’Europe centrale, quand ils ne sont pas des Berbères judaïsés, soit des juifs du Maghreb appelés Séfarades…
Par ailleurs, la loi française, sur le fondement de la laïcité, qui est la séparation des Églises et de l’État, soit la neutralité en matière de religions (il n’y a pas en France de religion officielle) nous donne le droit de critiquer toutes les religions présentes sur notre sol.
Et comme il en va de la libre critique du catholicisme et de l’islam – particulièrement virulente ces dernières années –, la loi française nous donne également le droit de critiquer le judaïsme, d’être donc judéo-critiques, voire, judéophobes (soit d’avoir peur du judaïsme).
De même, la loi française nous donne le droit de critiquer la politique d’un État quel qu’il soit (il n’y a pas d’État sacré) et donc d’être antisioniste : soit de critiquer la politique de l’État d’Israël.
On a donc, selon la loi française, le droit d’être judéocritique et judéophobe (de ne pas aimer et d’avoir peur de la religion juive) et d’être antisioniste (de ne pas aimer et d’avoir peur de la politique d’Israël).
En revanche, le racisme – défini comme incitation à la haine raciale – est interdit, mais il est utile de rappeler que si le judaïsme est un racisme (par la notion de peuple élu dont l’élection s’acquiert et se transmet fondamentalement par le sang), les juifs ne constituent pas une race…
Dés lors, pourquoi continuer à parler d’antisémitisme, terme impropre, quand il s’agit explicitement d’antisionisme et d’antijudaïsme ? D’autant plus que le sionisme et le judaïsme sont à la fois profondément liés et profondément éloignés des valeurs chrétiennes et des droits de l’homme ?
Quant aux notions de « communauté juive » ou de « peuple juif », quand il ne peut s’agir, sur le sol de France et selon le même droit français, que de « Français de confession juive » en vertu de la liberté de culte, ces deux expressions, reprises à longueur de temps par les médias, sont tout aussi infondées et abusives que celle d’antisémitisme…
Venons-en enfin à l’argument – sans aucun fondement juridique – selon lequel l’antisionisme ou l’antijudaïsme serait de l’antisémitisme (pris dans le sens de racisme) déguisé. Un argument parfaitement réversible, puisque, selon ce même principe abusif, toute critique de l’islam pourrait être qualifiée de racisme anti-arabe déguisé, et toute critique du catholicisme, de haine déguisée de notre culture et de notre civilisation françaises, en vertu de la place tenue par le catholicisme dans l’histoire de notre pays…
Ce qu’évidement personne n’aurait l’outrecuidance de prétendre !
Alain SORAL
Samedi 4 novembre 2023
Petit rappel des définitions et de leur validité...
L’antisémitisme désigne les sémites. Et le sémitisme est une théorie linguistique qui désigne les peuples qui pratiquent une langue sémitique. L’antisémitisme est donc un terme particulièrement impropre pour parler des juifs, puisque les sémites de très loin les plus nombreux sont les Arabes...
Le terme sémite est d’autant plus impropre pour parler des Israéliens, étant donné que la plupart des juifs d’Israël sont originaires d’Europe centrale, quand ils ne sont pas des Berbères judaïsés, soit des juifs du Maghreb appelés Séfarades…
Par ailleurs, la loi française, sur le fondement de la laïcité, qui est la séparation des Églises et de l’État, soit la neutralité en matière de religions (il n’y a pas en France de religion officielle) nous donne le droit de critiquer toutes les religions présentes sur notre sol.
Et comme il en va de la libre critique du catholicisme et de l’islam – particulièrement virulente ces dernières années –, la loi française nous donne également le droit de critiquer le judaïsme, d’être donc judéo-critiques, voire, judéophobes (soit d’avoir peur du judaïsme).
De même, la loi française nous donne le droit de critiquer la politique d’un État quel qu’il soit (il n’y a pas d’État sacré) et donc d’être antisioniste : soit de critiquer la politique de l’État d’Israël.
On a donc, selon la loi française, le droit d’être judéocritique et judéophobe (de ne pas aimer et d’avoir peur de la religion juive) et d’être antisioniste (de ne pas aimer et d’avoir peur de la politique d’Israël).
En revanche, le racisme – défini comme incitation à la haine raciale – est interdit, mais il est utile de rappeler que si le judaïsme est un racisme (par la notion de peuple élu dont l’élection s’acquiert et se transmet fondamentalement par le sang), les juifs ne constituent pas une race…
Dés lors, pourquoi continuer à parler d’antisémitisme, terme impropre, quand il s’agit explicitement d’antisionisme et d’antijudaïsme ? D’autant plus que le sionisme et le judaïsme sont à la fois profondément liés et profondément éloignés des valeurs chrétiennes et des droits de l’homme ?
Quant aux notions de « communauté juive » ou de « peuple juif », quand il ne peut s’agir, sur le sol de France et selon le même droit français, que de « Français de confession juive » en vertu de la liberté de culte, ces deux expressions, reprises à longueur de temps par les médias, sont tout aussi infondées et abusives que celle d’antisémitisme…
Venons-en enfin à l’argument – sans aucun fondement juridique – selon lequel l’antisionisme ou l’antijudaïsme serait de l’antisémitisme (pris dans le sens de racisme) déguisé. Un argument parfaitement réversible, puisque, selon ce même principe abusif, toute critique de l’islam pourrait être qualifiée de racisme anti-arabe déguisé, et toute critique du catholicisme, de haine déguisée de notre culture et de notre civilisation françaises, en vertu de la place tenue par le catholicisme dans l’histoire de notre pays…
Ce qu’évidement personne n’aurait l’outrecuidance de prétendre !
Alain SORAL
Samedi 4 novembre 2023
Re: Alain Soral : De la guerre civile à la libération de la France
Je vous livre mon analyse : Antisémite NON ! Judéophobe OUI !
L’encyclopédie Wikipédia nous fournit cette définition de l’antisémitisme : « Nom donné de nos jours à la discrimination et à l'hostilité manifestées à l'encontre des juifs en tant que groupe ethnique, religieux ou racial ».
Cette qualification n’a aucun sens, aucun fondement. Il n’y a pas d’unicité ethnique entre juifs ashkénazes et séfarades pour ne prendre que ce seul exemple. Les uns peuvent être grands, blonds aux yeux bleus, les autres typés, très orientalisés. Des travaux donnant lieu à de vifs débats confirment les origines diverses de cette « communauté » hétéroclite : méditerranéennes, slaves et khazares (1). Il n’y a pas plus d’unicité religieuse intrinsèque. En témoignent les enseignements rabbiniques que l’on peut aisément partager sur Internet. Pour les uns, « l’Homme » des textes et enseignements sacrés ne peut être qu’un juif. Pour les autres, il s’agit d’une notion universelle qui embrasse tous les êtres humains. Chacun y va de sa lecture et de son interprétation. Enfin, il y a moins encore d’unicité raciale. Des groupes et tribus congoïdes (noires) et mongoloïdes (asiatiques) se revendiquent juifs. L’exemple le plus emblématique étant les Falachas, ces juifs éthiopiens à peau noire.
Je ne me sens ethniquement et racialement en rien différent d’un français de confession juive. La seule chose qui nous diffère est notre croyance ou non en dieu, et par-là aux allégations religieuses qui s’en inspirent.
Comme je ne crois pas en dieu, pourquoi devrais-je alors me soumettre aux croyances d’un peuple qui s’autoproclame élu de ce dieu, quand bien même cette élection divine revêtirait les oripeaux d’une mission bienveillante universelle (restant à démontrer) ?
Ne pas croire en dieu est un droit absolu. Afficher sa défiance à l’égard de ceux qui s’en réclament est un droit absolu. Dès lors, la question de savoir de quel bord se situent les mystifications morales et intellectuelles est légitime. Tant que nous n’aurons pas la preuve irréfutable, absolue, de l’existence de ce dieu qui tarde à se témoigner, la prééminence ne doit jamais être accordée à celui qui croit mais bien à celui qui réfute ou à celui qui doute.
Je ne crois pas en dieu pas plus qu’au fils de dieu fait homme en rémission de mes péchés. Je ne reconnais donc pas aux juifs l’élection divine dont ils se targuent, pas plus que je ne leur reconnais de filiation ethnique commune. Ainsi pourrais-je moi-même me considérer juif si je faisais miens les rites et convictions du judaïsme qui est, au mieux, une mythologie ou une doctrine, au pire - plus vraisemblablement - la mystification d'une secte suprémaciste.
On ne saurait m’accuser d’antisémitisme dès lors que ceux qui se revendiquent juifs n’ont pas d’identité commune autre que leur appartenance à une même communauté religieuse ou leur adhésion à une même idéologie.
J’assume en revanche pleinement ma judéophobie qui est un droit absolu, c’est-à-dire la contestation radicale du judaïsme, de ses croyances, de ses pratiques et de ceux qui s’en réclament.
Le judaïsme est une mythologie, une doctrine, visant à unir et organiser une communauté autour d’intérêts partagés. Je lui refuse toute essence divine. Je lui accorde cependant le droit de s’y conformer, qui ne peut en aucun cas et d’aucune manière s’imposer à moi et à mes semblables.
Toute suspicion d’antisémitisme – notion dénuée de tout sens commun – de ma part sera considérée sans fondement, nulle et non avenue. Mon combat se situe sur un plan strictement idéologique et de défiance intellectuelle vis-à-vis d’individus qui se réfèrent à des doctrines et dogmes auxquels je n’adhère pas. Je suis en droit de contester ce que je considère être des balivernes, des affabulations, des mystifications et autres mythifications. Je réfute toute condamnation qui viserait mes dénégations légitimes.
Par essence, par principe, le doute sur l’existence de dieu et la réfutation des croyances monothéistes doivent profiter à celui qui n’y croit pas. Ce dieu n’existe pas. Aucun homme de foi ne peut aujourd’hui démontrer son omniscience qui tarde à s'incarner ou à se révéler, et qui ne se déclarera certainement jamais en faveur d’un peuple élu ou émissaire autoproclamé.
(1) Selon des historiens, parmi eux Shlomo Sand, des tribus khazares d’Asie centrale se seraient converties au judaïsme à partir du VIIe siècle.
L’encyclopédie Wikipédia nous fournit cette définition de l’antisémitisme : « Nom donné de nos jours à la discrimination et à l'hostilité manifestées à l'encontre des juifs en tant que groupe ethnique, religieux ou racial ».
Cette qualification n’a aucun sens, aucun fondement. Il n’y a pas d’unicité ethnique entre juifs ashkénazes et séfarades pour ne prendre que ce seul exemple. Les uns peuvent être grands, blonds aux yeux bleus, les autres typés, très orientalisés. Des travaux donnant lieu à de vifs débats confirment les origines diverses de cette « communauté » hétéroclite : méditerranéennes, slaves et khazares (1). Il n’y a pas plus d’unicité religieuse intrinsèque. En témoignent les enseignements rabbiniques que l’on peut aisément partager sur Internet. Pour les uns, « l’Homme » des textes et enseignements sacrés ne peut être qu’un juif. Pour les autres, il s’agit d’une notion universelle qui embrasse tous les êtres humains. Chacun y va de sa lecture et de son interprétation. Enfin, il y a moins encore d’unicité raciale. Des groupes et tribus congoïdes (noires) et mongoloïdes (asiatiques) se revendiquent juifs. L’exemple le plus emblématique étant les Falachas, ces juifs éthiopiens à peau noire.
Je ne me sens ethniquement et racialement en rien différent d’un français de confession juive. La seule chose qui nous diffère est notre croyance ou non en dieu, et par-là aux allégations religieuses qui s’en inspirent.
Comme je ne crois pas en dieu, pourquoi devrais-je alors me soumettre aux croyances d’un peuple qui s’autoproclame élu de ce dieu, quand bien même cette élection divine revêtirait les oripeaux d’une mission bienveillante universelle (restant à démontrer) ?
Ne pas croire en dieu est un droit absolu. Afficher sa défiance à l’égard de ceux qui s’en réclament est un droit absolu. Dès lors, la question de savoir de quel bord se situent les mystifications morales et intellectuelles est légitime. Tant que nous n’aurons pas la preuve irréfutable, absolue, de l’existence de ce dieu qui tarde à se témoigner, la prééminence ne doit jamais être accordée à celui qui croit mais bien à celui qui réfute ou à celui qui doute.
Je ne crois pas en dieu pas plus qu’au fils de dieu fait homme en rémission de mes péchés. Je ne reconnais donc pas aux juifs l’élection divine dont ils se targuent, pas plus que je ne leur reconnais de filiation ethnique commune. Ainsi pourrais-je moi-même me considérer juif si je faisais miens les rites et convictions du judaïsme qui est, au mieux, une mythologie ou une doctrine, au pire - plus vraisemblablement - la mystification d'une secte suprémaciste.
On ne saurait m’accuser d’antisémitisme dès lors que ceux qui se revendiquent juifs n’ont pas d’identité commune autre que leur appartenance à une même communauté religieuse ou leur adhésion à une même idéologie.
J’assume en revanche pleinement ma judéophobie qui est un droit absolu, c’est-à-dire la contestation radicale du judaïsme, de ses croyances, de ses pratiques et de ceux qui s’en réclament.
Le judaïsme est une mythologie, une doctrine, visant à unir et organiser une communauté autour d’intérêts partagés. Je lui refuse toute essence divine. Je lui accorde cependant le droit de s’y conformer, qui ne peut en aucun cas et d’aucune manière s’imposer à moi et à mes semblables.
Toute suspicion d’antisémitisme – notion dénuée de tout sens commun – de ma part sera considérée sans fondement, nulle et non avenue. Mon combat se situe sur un plan strictement idéologique et de défiance intellectuelle vis-à-vis d’individus qui se réfèrent à des doctrines et dogmes auxquels je n’adhère pas. Je suis en droit de contester ce que je considère être des balivernes, des affabulations, des mystifications et autres mythifications. Je réfute toute condamnation qui viserait mes dénégations légitimes.
Par essence, par principe, le doute sur l’existence de dieu et la réfutation des croyances monothéistes doivent profiter à celui qui n’y croit pas. Ce dieu n’existe pas. Aucun homme de foi ne peut aujourd’hui démontrer son omniscience qui tarde à s'incarner ou à se révéler, et qui ne se déclarera certainement jamais en faveur d’un peuple élu ou émissaire autoproclamé.
(1) Selon des historiens, parmi eux Shlomo Sand, des tribus khazares d’Asie centrale se seraient converties au judaïsme à partir du VIIe siècle.
Re: Alain Soral : De la guerre civile à la libération de la France
L'ex ministre de l'entité occupante de la Palestine Shulamit Aloni déclare en 2002 :"l'anti-sémitisme est notre combine pour faire taire les critiques".
https://twitter.com/Mediadeguerre/statu ... 3529786559
Comme le constate fort justement un internaute écoeuré : "des allogènes "des deux "bords" se prêtent, sur le sol français, à un concours obscène de victimisation sous l'oeil hagard des Français autochtones devenus étrangers chez eux".
"L'anti-sémitisme" est un terme étranger (et sans queue ni tête, en effet) que nous n'avons pas à utiliser.
Ambre, anti-judaïsme et islam, qui demeurent, quand on les connait bien, les deux faces d'une même pièce.
Je tiens quand même à signaler que les lois républicaines respectent les croyances personnelles et ne s'en mêlent pas, sous réserve que ces croyances ne mettent pas en danger la sécurité d'une nation.
Détail amusant si l'on peut dire, "israël" veut dire, "bibliquement" : "qui est contre dieu".
Lequel ? la question est posée.
https://twitter.com/Mediadeguerre/statu ... 3529786559
Comme le constate fort justement un internaute écoeuré : "des allogènes "des deux "bords" se prêtent, sur le sol français, à un concours obscène de victimisation sous l'oeil hagard des Français autochtones devenus étrangers chez eux".
"L'anti-sémitisme" est un terme étranger (et sans queue ni tête, en effet) que nous n'avons pas à utiliser.
Ambre, anti-judaïsme et islam, qui demeurent, quand on les connait bien, les deux faces d'une même pièce.
Je tiens quand même à signaler que les lois républicaines respectent les croyances personnelles et ne s'en mêlent pas, sous réserve que ces croyances ne mettent pas en danger la sécurité d'une nation.
Détail amusant si l'on peut dire, "israël" veut dire, "bibliquement" : "qui est contre dieu".
Lequel ? la question est posée.
Re: Alain Soral : De la guerre civile à la libération de la France
Les lois républicaines "devraient" protéger celles et ceux qui considèrent que la religion et l'appartenance religieuse des uns et des autres mettent en danger la sécurité d'une nation.
Ce n'est pas le catholicisme qui met en danger la France aujourd'hui (il ne l'a jamais mis), mais bien l'islam radical et le judaïsme radical (que je renvoie dos à dos), deux religions qui, il y a une centaine d'années, avaient une influence inexistante pour la première et limitée pour la seconde.
Aujourd'hui, ON NE PARLE QUE DE ÇA ! Les musulmans d'un côté, les juifs de l'autre. Ça pleurniche, ça revendique, ça suscite des tensions communautaires ingérables qui ne concernent en RIEN les populations autochtones, les "Français de souche", qui acceptent depuis des décennies d'être pris en otage par ces minorités.
Car la "démocratie française" est devenue la dictature des minorités juives, musulmanes, d'origines étrangères, LGBTQ, trans…
Si vous êtes blanc, chrétien, hétérosexuel… vous passez votre temps à vous excuser, à vous repentir des fautes (réelles ou fantasmées) de vos "ancêtres" (même quand ceux-ci ont vécu pendant 500 ans dans un coin de campagne reculé). Vous devez accepter sans broncher les revendications (parfois délirantes et infondées) des diversités qui, insidieusement, dictent leurs lois à la majorité. [Qui finira par être minoritaire. Et là, ça va devenir plus compliqué encore. Heureusement, je ne serai plus de ce monde].
Re: Alain Soral : De la guerre civile à la libération de la France
Quand Alain Soral annonçait dès 2011 le déclenchement de la Troisième Guerre mondiale, le bellicisme de l'Occident (USA, Europe…), la diabolisation de la Russie, le trucage des élections états-uniennes…
https://www.egaliteetreconciliation.fr/ ... 74137.html
https://www.egaliteetreconciliation.fr/ ... 74137.html
Re: Alain Soral : De la guerre civile à la libération de la France
Quand Soral décrypte la "sociologie de la drague" à l'attention des jeunes. 
Ce n'est pas à un vieux singe qu'on apprend à faire la grimace : https://www.youtube.com/watch?v=4_0diF7hstw&t
Ce n'est pas à un vieux singe qu'on apprend à faire la grimace : https://www.youtube.com/watch?v=4_0diF7hstw&t
Re: Alain Soral : De la guerre civile à la libération de la France
Quand Alain Soral dénonçait l'influence sioniste sur la France, l'Europe et le monde, en compagnie de Dieudonné. C'était en 2009.
Cette courte intervention est plus encore d'actualité. On y parle de Gaza, des bombardements israéliens sur ce camp de concentration, de Netanyahou (déjà !), de crimes de guerre, de l'OTAN, de la soumission de la France à l'empire Atlanto-sioniste (USA-Israël)… Tout y est !
Il est peu probable que cette vidéo reste longtemps en ligne sur Youtube :
https://www.youtube.com/watch?v=CcReG7cg6Gs&t
Cette courte intervention est plus encore d'actualité. On y parle de Gaza, des bombardements israéliens sur ce camp de concentration, de Netanyahou (déjà !), de crimes de guerre, de l'OTAN, de la soumission de la France à l'empire Atlanto-sioniste (USA-Israël)… Tout y est !
Il est peu probable que cette vidéo reste longtemps en ligne sur Youtube :
https://www.youtube.com/watch?v=CcReG7cg6Gs&t
Re: Alain Soral : De la guerre civile à la libération de la France
Analyse de la nomination de Gabriel Attal par Xavier Poussard (de Faits & Documents) et Alain Soral.
Forcément passionnant !
https://www.youtube.com/watch?v=QHGVwicY1RE&t
Forcément passionnant !
https://www.youtube.com/watch?v=QHGVwicY1RE&t
Re: Alain Soral : De la guerre civile à la libération de la France
Bientôt une Loi anti-Soral ?
Après la loi Gayssot (adoptée en 1990) pour faire taire le Professeur Faurisson qui remettait en question certains aspects de la persécution des juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, une loi "anti-Alain Soral" devrait voir le jour pour réprimer toute critique du sionisme (colonisation de la Palestine) et toute critique du judaïsme (improprement qualifié antisémitisme).
Ce projet de loi est initié par la très communautaire Caroline Yadan et porté par le goy (non-juif) de service, Mathieu Lefèvre. Comme en son temps le communiste Gayssot avait porté une Loi voulu par Fabius (dit-on), à laquelle pourtant s'étaient opposés quantité d'historiens (Max Gallo notamment), de politiciens (Chirac) et mêmes de personnalités juives (Simone Veil, Robert Badinter, Noam Chomsky)…
https://www.egaliteetreconciliation.fr/ ... 75125.html
Après la loi Gayssot (adoptée en 1990) pour faire taire le Professeur Faurisson qui remettait en question certains aspects de la persécution des juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, une loi "anti-Alain Soral" devrait voir le jour pour réprimer toute critique du sionisme (colonisation de la Palestine) et toute critique du judaïsme (improprement qualifié antisémitisme).
Ce projet de loi est initié par la très communautaire Caroline Yadan et porté par le goy (non-juif) de service, Mathieu Lefèvre. Comme en son temps le communiste Gayssot avait porté une Loi voulu par Fabius (dit-on), à laquelle pourtant s'étaient opposés quantité d'historiens (Max Gallo notamment), de politiciens (Chirac) et mêmes de personnalités juives (Simone Veil, Robert Badinter, Noam Chomsky)…
https://www.egaliteetreconciliation.fr/ ... 75125.html
Re: Alain Soral : De la guerre civile à la libération de la France
Alain Soral analyse le discrédit de la communication sioniste (israélienne) :
https://www.youtube.com/watch?v=ISpZ1A-CtYk&t
https://www.youtube.com/watch?v=ISpZ1A-CtYk&t
Re: Alain Soral : De la guerre civile à la libération de la France
Passionnante émission de Géopolitique profonde autour de trois personnalités de la dissidence : le révisionniste Vincent Reynouard, le capitaine Juving-Brunet et Alain Soral.
Chacun évoquant son parcours de libre penseur, intellectuel, historien, lourdement sanctionné (condamné à de la prison ferme) par l'État.
Car oui, en France, on peut être persécuté juridiquement, fiscalement, socialement, pour ses idées, ses opinions, ses écrits ou vidéos, comme aux pires heures de l'URSS.
Un document à conserver et à partager auprès des personnes qui "n'y croient pas", qui pensent que "nous sommes libres de nous exprimer en France".
Rappel : Reynouard, Juving-Brunet et Soral n'ont jamais été poursuivis pour violences ou appels à la violence. Mais généralement pour "contestation de crimes contre l'Humanité" et parfois pour "incitation à la haine" (une accusation aux interprétations à géométrie variable donc très contestables).
https://www.youtube.com/watch?v=kViDa6UOzB0&t
Chacun évoquant son parcours de libre penseur, intellectuel, historien, lourdement sanctionné (condamné à de la prison ferme) par l'État.
Car oui, en France, on peut être persécuté juridiquement, fiscalement, socialement, pour ses idées, ses opinions, ses écrits ou vidéos, comme aux pires heures de l'URSS.
Un document à conserver et à partager auprès des personnes qui "n'y croient pas", qui pensent que "nous sommes libres de nous exprimer en France".
Rappel : Reynouard, Juving-Brunet et Soral n'ont jamais été poursuivis pour violences ou appels à la violence. Mais généralement pour "contestation de crimes contre l'Humanité" et parfois pour "incitation à la haine" (une accusation aux interprétations à géométrie variable donc très contestables).
https://www.youtube.com/watch?v=kViDa6UOzB0&t
Re: Alain Soral : De la guerre civile à la libération de la France
Quand Soral et sa bande se paient Michel Onfray, ça décoiffe !
https://www.youtube.com/watch?v=CQhCtKh2NgI
La girouette de la fausse philosophie en perd la tête !
https://www.youtube.com/watch?v=CQhCtKh2NgI
La girouette de la fausse philosophie en perd la tête !