
https://blogs.alternatives-economiques. ... l-ass?s=09
Comme j’ai dit auparavant c’était un secret de polichinelles !, car c’était dans son programme de faire une « aumône » de solidarité unique avant la fin de son mandat..
Les syndicats n'ont jamais vraiment bougé pour la défense des droits des chômeurs à part Solidaires (SUD) et la CGT qui possède (possédait ?) une antenne "Chômeurs Rebelles".
Toujours pareil, c'est du cas par cas
Alors là, je ne comprends pas bien. Le proposer, mais à qui? C'est juste un décret à prendre. Je ne pense même pas que ce soit soumis au vote. Corrigez-moi si je me trompe.pierrot76 a écrit : ↑31 janv. 2024 Il ne faut pas s'enflammer
Il dit qu'il va le proposer
C'était déjà sur la table il y a ... 5 ans
https://www.youtube.com/watch?v=f7L1RxG ... LL&index=2
Le lueur d'espoir, c'est que l'exécutif ne voit le truc que sous le prisme de la retraite : pas de travail/ pas de trimestres
Quand ils vont aller dans le détail de 320 000 personnes qui ont travaillé et pour certaines de nombreuses années, ça va être une autre paire de manche
Beaucoup vont basculer dans la paupérisation (trimestres retraite, intérêts, don d'un parent, forfait social en moins et j'en passe... )
La CGT ne fait que constater cette suppression. Elle ne propose aucune action pour contrecarrer ce projet. Pour manifester pour la Palestine y'a du monde, par contre pour les chômeurs, bah, y'a plus personnes !!!Ce mardi 30 Janvier, Gabriel Attal a présenté à l’Assemblée Nationale ses prochaines attaques contre la classe ouvrière
« Suppression de l’ASS », nouvelle réforme brutale de l’Assurance-Chômage, généralisation dès 2025 du RSA conditionné à 15 heures d’activité sont les ingrédients réactionnaires d’une politique brutale reposant sur un discours populiste.
Dans son intervention le premier ministre a très largement véhiculé l’image du privé d’emploi qui ne travaille pas et pour certains : « cotisent des trimestres ». Nous le rappelons, personne n’a choisi d’être licencie ! Personne ne se satisfait d’être au chômage : près de la moitié des allocataires travaillent !
Alors que les tous premiers effets de ses réformes ont réduit la part des inscrits indemnisés à un niveau historiquement bas, le gouvernement entend contraindre les organisations syndicales et patronales à négocier de nouveaux reculs. Il s’agit de baisser la durée d’indemnisation de 25% à 40%, supprimer les filières d’indemnisation seniors et le maintien des droits jusqu’au départ à la retraite. En bref, un travailleur de plus de 55 ans devrait, selon le gouvernement, perdre 22 mois d’indemnisation !
Pour les travailleurs privés d’emploi, c’est révoltant ! Si ces mesures entraient en vigueur, dès la première année : ce seraient près de 800 000 allocataires de l’Assurance-Chômage (ARE-ASS) qui tomberaient en fin de droits et pour le quart d’entre-eux basculeraient au RSA quand les autres n’auraient… plus rien du tout !
Alors que plus de la moitié des travailleurs de plus de 55 ans ne travaillent pas, ce n’est ni une nouvelle perte de droits ou la suppression de l’ASS qui doivent être à l’ordre du jour mais bien l’avancement du départ à la retraite à 55 ans pour les métiers pénibles !
L’objectif du gouvernement est clair : priver les travailleurs précaires du droit à une retraite ou d’une allocation chômage et imposer le RSA ou, plus tard, le minimum vieillesse ! La misère à perpétuité du Revenu Universel d’Activité est en marche !
Cette politique assassine est au profit du grand patronat qui pourra imposer toujours plus de précarité et même recourir, dans le cadre de France Travail, à une main d’œuvre gratuite qui sera rémunérée par le RSA.