Une question de colena repostée ici :
bonjour j'ai demissioner de mon poste en avril resultats:pas d'allocations pendant 4 mois seulement quand j'ai refais ma demande la comission a decider que je n'aurais rien puis je me defendre?comment faire?
après une démission
il reste le RMI
Allez à la CAF vous renseigner.
Bon courage
Bon courage
Excuse-moi Colonna
Excuse-moi mais je suppose que tu devais avoir tes bonnes raisons pour "démissionner" mais par les temps qui courrent ... Pourrais-tu nous expliquer, si ce n'est pas trop indiscret, ce qui t'es arrivé ?
Merci.
Pour les "prêts à mordre" je dirais que je ne questionne pas Colonna pour le ou la blâmer mais pour que les gens réalisent à quel point IL FAUT ABSOLUMENT EVITER DE DEMISSIONNER.
Bonsoir
Questionneuse
Merci.
Pour les "prêts à mordre" je dirais que je ne questionne pas Colonna pour le ou la blâmer mais pour que les gens réalisent à quel point IL FAUT ABSOLUMENT EVITER DE DEMISSIONNER.
Bonsoir
Questionneuse
Il est surtout dommage que la démission ne donne droit à aucune indemnisation : les salariés qui démissionnent ont en majorité d'excellentes raisons de le faire. Un salarié maltraité ne peut que la fermer et subir, car il sait qu'il va se retrouver sans rien s'il démissionne. Ou alors il va se mettre en arrêt maladie plus souvent que la moyenne, ce qui est tout aussi vain.
Indemniser aussi les démissions permettrait de rétablir un rapport de force entre salariés et employeurs.
Indemniser aussi les démissions permettrait de rétablir un rapport de force entre salariés et employeurs.
Au jour d'aujourd'hui il reste l'abandon de poste qui est une faute lourde ou grave (donc on risque : pas d'indemnité de licenciement ni indemnités pour congés payés non pris) mais qui ouvre droit aux allocs chômage.superuser a écrit :Il est surtout dommage que la démission ne donne droit à aucune indemnisation : les salariés qui démissionnent ont en majorité d'excellentes raisons de le faire. Un salarié maltraité ne peut que la fermer et subir, car il sait qu'il va se retrouver sans rien s'il démissionne. Ou alors il va se mettre en arrêt maladie plus souvent que la moyenne, ce qui est tout aussi vain.
Indemniser aussi les démissions permettrait de rétablir un rapport de force entre salariés et employeurs.
Un salarié maltraité peut donc rester chez lui , sans se mettre en arrêt maladie, et attendre le licenciement, plutôt que de démissionner.
Attention à la renégociation de l'assurance chomage en cours ce genre de choses risque de devenir impossible.
Corto